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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 23:12

 

COMMUNIQUE DE PRESSE DU NPA

DU 5 DECEMBRE 2013

 

L'intervention militaire française en Centrafrique a commencé. Le Conseil de sécurité des  Nations unies a donné à cette opération de police internationale une prétendue légitimité en invoquant, cette fois encore, des raisons humanitaires. L'intervention aurait pour but de «restaurer l'ordre constitutionnel» et de «préparer le terrain à de futures élections » mais surtout et dans l'immédiat assurer le «désarmement, le cantonnement et démantèlement des groupes armés».

 

En fait, la France intervient dans cette ancienne colonie où elle a une vieille tradition de pillage et de soutien aux dictateurs comme l'ubuesque Bokassa pour y défendre ses propres intérêts. C'est elle qui a mis en place, il y a dix ans, le président Bozizé dont le régime haï et corrompu s'écroule.

 

Personne ne peut rester indifférent devant le sort dramatique de la population mais l'intervention militaire commanditée par les grandes puissances impérialistes ne résoudra rien bien au contraire. Son but n'est pas de mettre fin aux exactions et aux pillages des bandes armées de la Seleka.

 

Cette intervention obéit aux mêmes objectif que celle au Mali. Dans les deux cas comme dans le reste de l’Afrique il s'agit de maintenir l'ordre des grandes puissances alors que le régime politique qu'elles ont mis en place n'a plus aucun pouvoir.

 

Pour le gouvernement Hollande -Ayrault, il s'agit de préserver les privilèges de la vieille puissance coloniale qu'est la France, ceux des multinationales françaises, les Areva, Bolloré et autres Total.

 

L'intervention militaire ne peut entraîner pour la population que de nouvelles souffrances, de nouveaux drames.

 

Hors d'Afrique les troupes françaises

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5 décembre 2013 4 05 /12 /décembre /2013 22:41

COMMUNIQUE DE PRESSE DU NPA

DU 5 DECEMBRE 2013

 

 

A l’heure où nous venons d’apprendre le dramatique suicide d’un ouvrier licencié de chez GAD, le jour de la venue des ministres Sapin et Garrot à Lampaul Guimiliau,  le pacte d’avenir pour la Bretagne parait bien dérisoire au regard du massacre social en cours.

 

Ce pavé de 87 pages, rempli de chiffres et de prospectives, s’il répond à l’appétit du grand patronat qu’il soit breton ou pas, ne répond en rien aux situations présentes faites de milliers de licenciements et de fermetures d’usines.

 

Si les entreprises vont recevoir sans aucun contrôle ouvrier de nombreux millions d’euros, les salariés licenciés ou menacés de l’être n’auront droit qu’à « la sécurisation - bidon - de l’emploi », à de la formation (pour aller où ?) et à des aides à la mobilité vers des régions qui demain les licencieront aussi.

 

Ce pacte ne prévoit en rien l’ouverture des livres de comptes des entreprises ni la récupération des dizaines de millions d’euros qu’ont reçus les patrons des  Doux et Tilly-Sabco au titre des restitutions (subventions européennes).

 

Ces patrons qui aujourd’hui licencient et en demandent encore et encore.

Une fois de plus rien n’est dit concrètement de l’avenir des travailleurs, des petits paysans les plus durement frappés par la soi-disant crise, alors même que le pacte confond simplification administrative et déréglementation, favorisant ainsi les propositions portées par le lobby porcin.

Il n’est pas sûr qu’il parvienne à répondre à la détresse et à étouffer la colère des Bretons !

 

La lutte unitaire contre les licenciements et la précarité

doit continuer et s’amplifier.

 

BRETAGNE, UN PACTE SANS AVENIR QUI NE REPOND PAS AU PRESENT
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 23:06

Après la réussite des journées de mobilisation du 13-14 novembre 2013. Celle-ci est due au ras-le-bol réel de la profession devant des conditions de travail très dégradées associé à la pagaille monumentale engendrée par la mise en pratique de cette réforme profondément inégalitaire (fatigue supplémentaire, dérégulation du temps de service des enseignants et des animateurs, qualité médiocre des services faute de moyens supplémentaires, inégalités territoriales majeures et intégration rampante des municipalités dans les choix pédagogiques des équipes).

 

Une nouvelle mobilisation aura lieu le JEUDI 5 décembre 2013, à l'appel de l'intersyndical des enseignants. Pour amplifier cette mobilisation, il est nécessaire de s'appuyer sur le soutien massif et populaire des parents d’élève et de la population et aussi d'associer dans la lutte le personnel des collectivités territoriales et en particulier les animateurs.

 

LE NPA défend le retrait, l'abrogation pure et simple de ces décrets et la suspension immédiate dans les communes où ils s’appliquent

LE NPA exige que des moyens financiers suffisant soit donnés à l'éducation nationale, pour rétablir tous les postes supprimés par Sarkozy entre 2007 et 2012, en particulier les 5000 postes RASED et en créer suffisamment pour abaisser les effectifs à 20 élèves par classe et permettre une véritable aide aux élèves en difficultés.

LE NPA revendique le maintien du taux d’encadrement dans le périscolaire à 1 pour 10 pour les moins de 6 ans et 1 pour 14 à partir de 6 ans sans possibilité de dérogation, ainsi que l’abrogation du décret sur les Projets ÉDucatif Territorial(PEDT).

LE NPA lutte pour la titularisation immédiate des animateurs dans la fonction publique en catégorie B et que les activités dites « périscolaires » soient mises en place à l’échelle nationale et de façon égalitaire sur l’ensemble du territoire sur la journée du mercredi.

 

 

SUR CLERMONT-FERRAND

MANIFESTATION JEUDI 5 DECEMBRE 2013
10H30 Place Delille

 

 

Voir l'appel intersyndical ci-dessous :

 

NON A LA REFORME DES RYTHMES SCOLAIRE
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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 22:20

FADILJ BAJRAMOVIC qui avait été arrêté de façon scandaleuse alors qu'il était dans un véhicule, et avait été envoyé en centre de rétention.

Suite à l'appel devant le juge des libertés et de la détention a obtenu sa libération

 

LE COMITE DE SOUTIEN MAINTIEN LA MANIFESTATION

AFIN DE SOUTENIR LA FAMILLE ET D'OBTENIR SA REGULARISATION

 

 

POUR LA REGULARISATION DE TOUS LES SANS PAPIERS

POUR STOPPER UNE FOIS POUR TOUTE LA CHASSE AUX SANS PAPIERS

RASSEMBLEMENT

JEUDI 5 DECEMBRE 2013

à 17H30 à RIOM

(devant l’école élémentaire Genet)

 

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 09:45

 

POUR LA LIBERATION DE FADILJ BAJRAMOVIC !

ARRÊTE DE FACON SCANDALEUSE SUR SON LIEU DE TRAVAIL

POUR LA REGULARISATION DE LA FAMILLE

LE NPA APPELLE A PARTICIPE A LA MANIFESTATION

initiée par le comité de soutien

JEUDI 5 DECEMBRE 2013

à 17H30 à RIOM

(Départ l’école élémentaire Genet, jusqu’à la Sous- Préfecture.)

 

Voir tract d'appel ci-dessous

 

 

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4 décembre 2013 3 04 /12 /décembre /2013 09:10

Les reculs sociaux imposés par le patronat et les gouvernements de droite et de gauche s’accompagnent d’une offensive réactionnaire qui flatte et encourage les préjugés xénophobes et racistes.

 

Quand Christiane Taubira est traitée de singe, la condamnation doit être unanime. Et quand Manuel Valls excluent les Rroms « qui ne vivent pas comme nous », elle devrait l’être tout autant ! De même, il ne faut laisser passer aucun de ces propos qui excluent, insultent, rabaissent en raison de l’origine, de la couleur de la peau ou de la religion. Le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit.

 

Laisser dire le racisme conduit à laisser faire les violences physiques contre les étrangers, les agressions contre les femmes musulmanes. C’est encourager les attaques contre les plus déshérités, les plus démunis. C’est encourager la politique du bouc émissaire pour dévoyer le mécontentement populaire.

 

LES GOUVERNEMENTS PASSENT ,

LE RACISME ET LES DISCRIMINATIONS RESTENT !

 

Il y a 30 ans des marcheurs et marcheuses partaient de Marseille pour dénoncer les crimes racistes et les violences policières, revendiquer la fin des discriminations, exiger, entre autre, la carte de séjour unique de 10 ans. Le 3 décembre 1983, leur marche contre le racisme et pour l’égalité des droits était accueillie par une manifestation de 100 000 personnes à Paris.

 

Cette marche avait ouvert un espoir. Mais les promesses de Mitterrand sur le droit de vote aux étrangers, renouvelées par Hollande en 2012, restent lettre morte.

 

La chasse aux Rroms est ouverte en permanence sur tout l’hexagone que le ministre de l’intérieur soit de droite comme Brice Hortefeux ou « socialiste » comme Manuel Valls. Les réfugiés et les sans-papiers restent traqués comme des criminels.

 

Et le quotidien des banlieues reste marqué par les discriminations, la disparition des services publics et la répression policière comme seule réponse au désespoir.

 

CONTRE LE RACISME, IMPOSER DES MESURES CONCRETES

 

D’abord mettre fin à l’impunité pour les crimes racistes et les violences policières, combatte toutes les discriminations, en finir avec les discriminations dans le droit à l’emploi et à l’éducation L’égalité des droits c’est évidemment le droit de vote à toutes les élections pour toutes celles et tous ceux qui résident ici.

 

Celles et ceux qu’on appelle sans-papiers sont maintenus dans l’illégalité par une législation de plus en plus exigeante. Certains sont venus au péril de leur vie, comme le rappellent les drames comme celui de Lampedusa, fuyant la misère, la guerre ou la répression.

 

Leur situation ne profite qu’à ceux qui les exploitent, les sous-paient, les logent dans des taudis pour des loyers exorbitants. Leur régularisation est la première mesure pour leur permettre de vivre dignement et sans crainte.

 

LE COMBAT ANTIRACISTE,

LA LUTTE POUR UNIR LES VICTIME DE LA CRISE,

POUR LA SOLIDARITE

 

La lutte contre le racisme est l’affaire de toutes et tous, de ses victimes directes comme de l’ensemble des exploitéEs et des oppriméEs qu’il divise pour détourner leur colère contre les étrangers et épargner les vrais responsables de la crise.

 

Au lieu de ramper devant les dirigeants du CAC40, comme le fait le gouvernement Hollande, il faut s’attaquer aux intérêts du patronat et à sa soif de profits qui plongent des millions d’hommes et de femmes dans la précarité, le chômage, la misère et le désarroi créant ainsi le terreau de la haine.

 

NE NOUS LAISSONS PAS DIVISER

CONSTRUISONS A TRAVERS LES MOBILISATIONS
ET LES LUTTES NOTRE SOLIDARITES

QUELLES QUE SOIENT NOTRE ORIGINE,

NOTRE COULEUR DE PEAU !

 

FAIRE FRONT CONTRE LE RACISME !

MANIFESTATION NATIONALE

PARIS

SAMEDI 7 DECEMBRE 2013

à 14H00 devant

samedi 7 décembre à 14h l’église St Bernard m°Barbès

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2 décembre 2013 1 02 /12 /décembre /2013 01:21

Il y a 30 ans déjà, un groupe de jeunes issus de la banlieue lyonnaise s'est mobilisé pour dénoncer les crimes racistes, les violences policières, à l'époque les campagnes électorales étaient marquées par la xénophobie, l'idéologie sécuritaire et les alliances électorales entre la droite et LE FN.

 

Cette marche était partie dans l'indifférence quasi générale le 15 octobre 1983, certains pensaient que ce serait un échec. Mais le 3 décembre 1983, la mobilisation s'est amplifiée et s'est conclue par une mobilisation de 100 000 personnes à Paris. Le slogan scandé par les manifestants « Rengainez on arrive ! »symbolisait parfaitement les discriminations et le racisme vécus par les habitants des quartiers en particuliers les jeunes.

 

Aujourd’hui, le constat est amer , rien à changer. Depuis l'arrivée de Hollande et la nomination de Valls au ministère de l'intérieur, le changement n'a pas eu lieu, la politique menée est la continuité de celle de Sarkozy. En toute impunité , des propos racistes sont proférés, des tirs à boulet rouge ont lieu vers les immigrés, les Roms, les jeunes,les femmes. Cette politique de stigmatisation , du tout sécuritaire fait le jeu du Front national et de la droite réactionnaire qui est à la base de leur programme politique.

 

NE NOUS TROMPONS PAS DE COLÈRE

 

Nos voisins sans papiers, étrangers, sans domicile fixe, sans emploi sont dans la même galère que nous . Ce ne sont pas eux qui mettent en place les cures d'austérité mais nos gouvernants. La situation de la majorité d'entre nous s'est encore aggravée.

 

NE NOUS LAISSONS PAS INTIMIDER

PAR CES MANOEUVRES DE DIVISION

 

Le collectif national « Égalité des droits/Justice pour tou-te-s »(constitué pour « commémorer » de manière militante les trente ans de la marche), a lancé un appel à organiser partout où c’est possible des initiatives pour montrer l’actualité de la marche et se retrouver toutes et tous ensemble pour une manifestation nationale ce 7 décembre.

 

Cette manifestation devra réunir les sans-papiers, les Roms, les jeunes, les femmes… autour de l’égalité des droits, contre le racisme. Par les temps qui courent, cela devrait nous servir d’antidote à la politique nauséabonde menée par Hollande, Ayrault et Valls, et contre la droite, l’extrême droite et les fascistes.

 

Il est important de lutter tous ensemble dans nos rues, nos quartiers, nos lieux de travail et chômage, nos lieux de vie, contre le racisme et pour l’égalité

 

* Le NPA soutient cet appel et sera dans la rue.

* Le NPA défend la régularisation de tous les sans papiers

* Le NPA exige l'égalité des droits pour tous

* Le NPA dénonce et condamne les violences policières

 

Voir l'appel national de la manifestation du 7 DECEMBRE 2013

 

 

 

 

 

OUI A L'ÉGALITÉ, NON AU RACISME MOBILISONS-NOUS !!!
OUI A L'ÉGALITÉ, NON AU RACISME MOBILISONS-NOUS !!!
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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 19:20

Dans le cadre du cycle de conférences

de l'association des amis du temps des cerises,

Grégory GIRAUD de SURVIE Loire, présentera l'ouvrage

« La France en guerre au Mali, enjeux et zones d’ombres »,

Le Jeudi 5 décembre à 20h à

l'UFR Lettre, Langues et Sciences Humaines

Amphi 2 29 Bd F. Mitterand Clermont-Ferrand

Entrée à prix libre

 

Grégory Giraud est également également co-auteur de l'ouvrage " La guerre au Mali , Comprendre la crise au Sahel et au Sahara : enjeux et zones d'ombre" sous la direction de Michel GALY

« La France en guerre au Mali, enjeux et zones d’ombres », ouvrage collectif de l’association Survie coordonné par Juliette Poirson et Fabrice Tarrit avec une postface du professeur Issa Ndiaye:

Pour commander le livre : c'est ICI

 

"Le 10 janvier 2013, François Hollande engage l’armée française au Mali pour enrayer une offensive de groupes armés qui occupaient les deux tiers du pays, provoquant le soulagement compréhensible des Maliens. La propagande déployée par l’armée et le gouvernement français pour défendre le bien-fondé et la légalité de son « Opération Serval », préparée de longue date malgré les discours plaidant pour l’intervention d’une « force africaine », est alors relayée par la plupart des médias.Pourtant l’utilisation du paravent de l’ONU par la France, son rôle autoproclamé de « gendarme de l’Afrique », le recours à des forces supplétives de la Cedeao et du Tchad, les liens ambigus avec le groupe armé du MNLA, la marginalisation des Maliens dans la conduite des opérations militaires et dans les décisions politiques qui concernent l’avenir de leur pays figurent parmi les nombreuses zones d’ombres de cette opération. Ce livre est le fruit d’une enquête de plusieurs mois pour faire la lumière sur les enjeux et les dérives de cette guerre française au Mali."

 

Le NPA a édité une brochure : NON A LA GUERRE AU MALI

Pour se la procurer passez commande ICI

 

 

 

LA FRANCE EN GUERRE AU MALI, ENJEUX ET ZONES D'OMBRES
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28 novembre 2013 4 28 /11 /novembre /2013 10:03

Pour signez et faire signez la version papier,

voir exemplaire ci-dessous

Pour signez en ligne c'est ICI

 

PETITION POUR LE RETOUR

D'ELINE, ANUSH ET EDIK ASATRYAN EN FRANCE

 

Edik ASATRYAN et ses deux filles Anush et Eline ont fui l’Arménie pour sauver leurs vies après qu’Anush et Eline y aient subi de nombreuses agressions.Malgré des faits très graves et les preuves apportées, Edik, Anush et Eline Asatryan n’ont pas obtenu le statut de réfugié à l’OFPRA car l’Arménie a été classée par la France dans la liste des « pays sûrs ».

 

Ils ont préparé avec leur avocat un recours devant la CNDA. Mais sans attendre la convocation de la CNDA, le 14 novembre, la préfecture du Puy de Dôme les a fait arrêter.

 

Ils ont préparé avec leur avocat un recours devant la CNDA. Mais sans attendre la convocation de la CNDA, le 14 novembre, la préfecture du Puy de Dôme les a fait arrêter.

 

Emmenée au centre de rétention de Lyon, la famille aurait dû rencontrer le juge des libertés et de la détention. L’audience était prévue pour le lundi 18 novembre. Mais le 15 novembre, sans attendre qu’ils puissent faire valoir leurs droits, Edik, Eline et Anush ont été expulsés vers l’Arménie dans un avion affrété spécialement pour eux. ( coût moyen d’une expulsion évalué par le sénat : 20 000 €)

 

Nous craignons pour leur vie et demandons leur retour immédiat en France, à Clermont-Ferrand où ils nous manquent énormément.

 

Nous demandons que les quelques droits prévus par la loi pour les demandeurs d’asile, soient au moins respectés.

 

Anush et Eline étaient professeurs en Arménie. Elles avaient appris le français en très peu de temps, avaient fait du bénévolat au secours populaire et au secours catholique puis avaient repris des études à la faculté pour parfaire leur maîtrise de notre langue. 

 

Leur père Edik se levait très tôt pour traverser la ville en bus et aller travailler dans une association d’insertion : Les mains ouvertes. Il ne supportait pas d’être inactif.

 

Tous les trois nous avaient conquis par leur courage et leur gentillesse.

Accueillir Edik, Anush et Eline est une chance pour la France !

Nous exigeons leur retour.

Premiers signataires : Eric Agbessi, Maître de conférence, Directeur de l'UFR LACC, Université Blaise Pascal 

, Philippe Antoine Professeur des Universités. Directeur du département de français de l’université Blaise Pascal

, Pascale Auraix-Jonchière, Professeur des universités, directrice du Centre de Recherches sur les littérature et la sociopoétique, université Blaise Pascal

, Frédéric Calas, Professeur, responsable du Master Littérature de l’Université Blaise Pascal, Directeur du FLEURA (Centre des étudiants étrangers de l’université Blaise Pascal) où sont régulièrement inscrites Eline et Anush ASATRYAN

, Alain Chevarin, Professeur de Lettres, formateur IUFM, en retraite, Sylviane Coyault, Professeur de littérature française des 20ème et 21ème siècles, Directrice des Presses Universitaires Blaise Pascal

, Anne Dubet, Département d'études hispaniques et hispano-américaines université Blaise Pascal, Evelyne Ducrot, Chargée de l'action culturelle , Service université Culture, Clermont Université

, Roland Goigoux Professeur Université Blaise Pascal, Stéphanie Lamaison, Responsable du service des relations internationales - Université Blaise Pascal
, Franck Lebas, Maître de conférence, linguistique française, département de français, université Blaise Pascal

, Myriam Lépron, professeur agrégée, responsable du secteur Lire Écire,  Service Université Culture, Clermont Université, Éric Lysøe, Professeur de littérature comparée Directeur de l'École doctorale Lettres, Sciences humaines et sociales, Catherine Milkovitch-Rioux, maîtresse de conférences, Directrice du Service université Culture, Clermont Université
, Brigitte Morand, Maître de conférence, Direrctrice du département lettres langues arts et sciences humaines,  ESPÉ Clermont-Auvergne, université Blaise Pascal, Catherine Morgan-Proux, Maitre de Conférences, UFR LLSH, Université Blaise Pascal, Matteo Nobile, Professeur vacataire italien université laise pascal, Serge Thomazet, Maître de conférence, ESPE, Université Blaise Pascal, Nathalie Vincent-Munnia, Maîtresse de conférence, Boston University


Emmanuel Bouhier Cimade 63, Maurice Daubannay IA-IPR Honoraire, Défense des Enfants International-France, Claude Delétang secrétaire départemental FSU, Adèle Martin, UNEF, Julien Pauliac secrétaire général CGT Puy de Dôme, Marie Luce Pouchard Ligue des Droits de l'Homme Clermont-Fd/Riom, Patrick Velard Porte parole régional Union syndicale SOLIDAIRES,

Danielle Auroi députée du Puy de Dôme, Philippe Bohelay adjoint au maire Clermont-Fd, Sandrine Clavières Conseillère Municipale Clermont-Fd, Patricia Guilhot Conseillère Générale Puy de Dôme, Alain Laffont Conseiller Municipal Clermont-Fd, Josette Lucard adjointe au maire Aubière, Hervé Mantelet conseiller municipal Beaumont, Agnès Mollon conseillère régionale Auvergne, Marie Puglièse secrétaire fédérale PS à l'égalité des droits, Martine Rembert conseillère municipale Clermont-Fd, Yves Reverseau Conseiller Municipal Clermont-Fd, Christian Sinsard Maire d'Aubière, Christine Thomas Conseillère Municipale Beaumont, Odile Vignal adjointe au maire Clermont-Fd

 

 


 

 

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Merci de retourner les versions papiers à RESF63 Centre Jean Richepin, rue Jean Richepin 63000 Clermont-Ferrand

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27 novembre 2013 3 27 /11 /novembre /2013 19:47

Jean-Marc Ayrault prétend répondre au mécontentement en annonçant une « remise à plat de notre système fiscal » et sa volonté de relancer le dialogue social. Il n’y a pour les classes populaires rien de bon à attendre de ce nouveau faux semblant du gouvernement.

 

Il ne peut avoir, au final, d’autres effets que de favoriser encore plus le patronat sous couvert de lutte contre les déficits et le chômage.

 

EN FINIR AVEC

LES POLITIQUES D'AUSTERITE...

 

François Hollande et le PS avaient dit « Non à la TVA Sarkozy ». Aujourd’hui ils augmentent la TVA pour financer un cadeau de 20 milliards aux actionnaires. Ils exonèrent les patrons de milliards de cotisations sociales...afin d’augmenter la part des profits.

 

Et la remise à plat d’Ayrault ira dans le même sens, en pire, si nous ne réussissons pas à inverser les rapports de force pour imposer une autre répartition des richesses. Le gouvernement prend dans les poches de la population pour donner aux patrons et aux riches. Il invoque la dette pour justifier cette politique, pure hypocrisie car ce sont bien les cadeaux faits au patronat comme les intérêts versés aux banquiers au titre du paiement de la dette qui ruinent l’économie.

 

Cette politique est injuste et inefficace. La dette ne cesse de croître, le chômage augmente. Au nom de la croissance, gouvernement et patronat aggravent le chômage, intensifient les rythmes de travail. Leur course à la compétitivité entraîne la multiplication des plans sociaux. Une telle politique ne vise qu’à la croissance des profits au détriment de toute la société

 

UNIFIER LES REVOLTES

 

A travers tout le pays, la révolte éclate : les travailleurs de Marine Harvest, d’Alcatel- Lucent, ceux de La Redoute ou bien d’autres contre les licenciements, les enseignants et les parents d’élèves contre les rythmes scolaires, les sages-femmes, des paysans et des artisans victimes de la crise...

 

Il s’agit aujourd’hui de saisir toutes les occasions qui permettent au mécontentement, aux mobilisations de converger sur le terrain social et politique contre le gouvernement et le patronat.

 

L’UMP et le FN osent prétendre parler au nom des classes populaires, c’est un mensonge, une imposture. C’est à nous, aux travailleuses et aux travailleurs, à la jeunesse de prendre l’offensive pour ne pas les laisser dévoyer le mécontentement.

 

Au lieu de nous laisser diviser, nous devons unir nos combats. C’est pourquoi le NPA était avec la révolte bretonne à Quimper ou, samedi dernier avec les salariés à Rennes, Morlaix...

 

C’est pourquoi aussi nous appelons à participer, le 1er décembre, à la marche initiée par le Front de gauche. Il est de l’intérêt de toute la population de se battre ensemble contre la hausse de la TVA et l’écotaxe, pour le financement de la sécurité sociale exclusivement par des cotisations sociales versées par les employeurs, pour une fiscalité anticapitaliste et en finir avec l’austérité, pour l’interdiction des licenciements, contre les expulsions de

sans-papiers.

 

Le 1er décembre sera l’occasion de dire dans la rue nos exigences, de faire un pas vers la construction d’une opposition politique contre le gouvernement et le patronat.

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