


NUCLEAIRE ,NOUS VOULONS AVOIR LE CHOIX
Le 15 octobre 2011, des manifestations régionales ou inter-régionales seront organisées par les différentes coordinations
régionales, avec le soutien du Réseau "Sortir du nucléaire" pour exiger la sortie du nucléaire
Dans le sud-est une grande manifestation sera organisée près de la centrale du Bugey dans l'Ain.
GRAND RASSEMBLEMENT
SAMEDI 15 OCTOBRE 2011
13h30 à St Vulbas 01150
NON A LA PROLONGATION DE 10 ANS DE LA CENTRALE DU BUGEY
BUGEY est la 2ème centrale la plus ancienne de France après Fessenheim ,4 réacteurs en fonctionnement depuis plus de 30 ans...
Le risque d'accident nucléaire existe aussi chez nous
SORTIR DU NUCLEAIRE MAINTENANT
Le NPA (membre du réseau"Sortir du nucléaire") exige Décision immédiate de sortie du nucléaire en 10 ans maximum
Le NPA exige la sauvegarde des emplois et des statuts des
salarié-e-s du nucléaire; intégration de tous les sous-traitant-e-s et intérimaires dans un service public de l’énergie
Le NPA exige l'arrêt immédiat des réacteurs
les plus anciens et les plus dangereux, à commencer par Fessenheim
Le NPA exige l'arrêt immédiat des nouveaux projets, en France (Flamanville, Penly…) et à l’étranger
Le NPA exige l'arrêt de tous les projets d’enfouissement des déchets radioactifs (notamment Bure)
Le NPA exige la réorientation des budgets de la recherche vers l’efficacité
énergétique, les énergies renouvelables et arrêt d’ITER
Le NPA exige le lancement immédiat d’un programme d’investissement massif dans les économies d’énergie et les énergies renouvelables.
Retrouvez les propositions du NPA pour un plan détaillé de sortie du nucléaire en moins de 10 ans.
Pour souligner l'indécence qu'est de vouloir encore construire aujourd'hui une machine qui tue, pollue, gaspille matière première et énergie;
En bref, une aberration économique et écologique!
La construction d'un incinérateur vient de commencer à côté de Clermont-Fd. Au-delà du cas du Puy-de-Dôme, il y a une dizaine d'incinérateurs en projet ou en construction en France. D'autres pays européens sont également aux prises avec cette technique dépassée.
Si hier, il pouvait paraitre loufoque de se passer de l'incinération, aujourd'hui c'est le contraire : les alternatives sont éprouvées et pratiquées avec succès en France et à travers l'Europe.
Choisir l'incinération, c'est choisir de:
– construire une usine qui tuera certains d'entre nous, notamment par cancer
– construire une usine qui pollue nos terres et empoisonne notre bétail
– nous faire stocker plus de déchets et plus toxiques que si on trie et valorise correctement. Et oui, les machefers et autres réfiom, il faut en faire quelque chose !
– brûler des objets réutilisables et des matières recyclables (donc de l'équivalent pétrole) alors que nous devons apprendre au plus vite la sobriété et l'efficacité énergétique
– construire un monstre qu'il faudra « gaver ». En effet, un incinérateur est obligé d'avoir la gueule pleine pour fonctionner. Donc, c'est brûler ou trier correctement, mais pas les deux !
– gaspiller l'argent public puisque la mise en oeuvre de solutions alternatives et responsables coûte moins cher (pour le Puy-de-Dôme, plus de 100 millions d'euros d'économie, suivant l'exigence écologique)
– renoncer à la création d'emplois locaux nombreux générés par ces mêmes alternatives.
Les alternatives existent.
Elles s'appellent tri, réemploi, recyclage, méthanisation des déchets verts, … Les « outils » s'appellent pédagogie et motivation pour trier correctement, tri dans les maisons et les entreprises y compris nos déchets verts, pesée embarquée, recycleries, … Certaines régions sont passées de 400 kg de déchets « ultimes » par an et par habitant à moins de 80 kg. D'autres l'ont fait, nous pouvons le faire !