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11 novembre 2014 2 11 /11 /novembre /2014 10:45

VIOLENCE SOCIALE,

VIOLENCES POLICIÈRES

ÇA SUFFIT !

RIPOSTONS DANS LA RUE

LE 15 NOVEMBRE

TOUS DANS LA RUE, LE 15 NOVEMBRE 2014

La politique du gouvernement Hollande-Valls suscite un désaveu toujours plus profond. Pour empêcher que la colère ne se transforme en mobilisations, il met préventivement en oeuvre la seule politique qui lui reste : la répression.

 

Les prétendues bavures ne sont que la conséquence inévitable de l’utilisation de la force contre celles et ceux qui refusent les politiques patronales et gouvernementales. Rémi Fraisse, manifestant contre l’inutile, le nuisible barrage de Sivens, est la victime non d’une bavure mais d’une politique cohérente.

 

Cohérence répressive

 

Depuis plusieurs mois le gouvernement multiplie les mesures répressives. Violences policières systématiques contre les opposantEs à l’Ayraultport de Notre-Dame-des- Landes, interdiction des manifestations en solidarité avec le peuple palestinien, répression à La Poste, à la SNCF, à l’Inspection du travail, etc.

 

Violences répétées contre les sans-papiers, les Rroms, les demandeurs d’asile. Criminalisation des militantEs de la Confédération paysanne contre l’usine des 1000 vaches. Et en prime, une loi qui au nom de la lutte contre le terrorisme vise à fliquer toute la population.

 

Cohérence antisociale

 

Patronat et gouvernement calomnient les plus pauvres, attaquent les chômeurs, traitent de « privilégiéEs »les fonctionnaires et les salariéEs en CDI.

Le patronat se sent légitimé et soutenu dans une même politique répressive. Le Pacte de compétitivité vient faire régner au coeur des entreprises une insécurité sociale dont le chômage fournit le socle permanent.

 

La répression des syndicalistes, de toutes celles et ceux qui refusent les diktats patronaux est devenu le vrai visage du dialogue social des amis de Valls. Les institutions représentatives du personnel, fragiles barrières légales qui donnent des moyens ou protègent les représentants des salariéEs sont dans la ligne de mire du MEDEF.

 

Fort de nos faiblesses

 

C’est l’ensemble de cette politique qu’il faut combattre. Impossible de séparer riposte sociale et riposte antirépressive. Des années de reculs sociaux, de défaites, suscitent doutes et hésitations.

Le basculement définitif d’un gouvernement que beaucoup imaginaient de « gauche » dans le camp du patronat, des nantis, ajoute au sentiment d’absence d’alternative. L’attitude des directions syndicales, au mieux embourbées dans le dialogue social, au pire soutenant totalement la politique gouvernementale conforte ce sentiment.

 

Reprendre l’initiative

 

Malgré ces difficultés, des résistances, des ripostes existent. Leur isolement autant que les politiques répressives n’ont pas permis de victoire significative. Mais elles constituent un point d’appui pour reprendre l’initiative.

 

La mobilisation qui se dessine, notamment dans la jeunesse, peut remettre en cause le scénario du gouvernement. Dans le même temps les forces politiques, associatives, syndicales, à l’initiative des manifestations du 12 avril dernier appellent à de nouvelles manifestations le 15 novembre pour affirmer notre rejet d’un budget symbole de la politique de reculs sociaux répondant aux exigences du MEDEF.

 

Ces mobilisations doivent redonner confiance et permettre de regagner du terrain, d’interdire au gouvernement de poursuivre une politique qui ajoute la violence d’Etat à la violence de l’austérité.

 

 

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29 septembre 2014 1 29 /09 /septembre /2014 15:13

Suite à la très importante manifestation nationale qui a eu lieu le 3 juin 2014 à l'appel d'organisations syndicales et association de retraité(e)s qui avait réuni plus de 20000 personnes à Paris et avec des rassemblements dans les départements pour protester contre la politique menée par le gouvernement.

 

Le gouvernement a changé depuis, mais sa politique est restée la même, voir même s'est accéléré.

 

C'est pour cela qu'une nouvelle journée de mobilisations aura lieu le mardi 30 septembre à l'appel des organisations syndicales des retraités(CGT, SOLIDAIRE, FSU, Retraité de la Fonction Publique, CFE/CGC, LSR, CFTC)

 

Cette journée d'action concerne aussi tous les salariés, quelque soit leur branche et doit permettre de défendre la retraite et la sécurité sociale. Cette journée de mobilisation doit servir de tremplin pour préparer la journée du 16 octobre pour dire NON au cure d'austérité gouvernementale.

 

 

RASSEMBLEMENT à CLERMONT-FERRAND

MARDI 30 SEPTEMBRE 2014

14H30 devant la PREFECTURE

 

voir tract d'appel ci-dessous

 

RETRAITE(E)S EN COLERE, TOUS ET TOUTES DANS L'ACTION LE 30 SEPTEMBRE 2014
RETRAITE(E)S EN COLERE, TOUS ET TOUTES DANS L'ACTION LE 30 SEPTEMBRE 2014

Le NPA appelle à participer à ce rassemblement

Pour le NPA, il est impératif de revenir à une retraite à 60 ans(55 ans pour les travaux pénibles), à taux plein après 37,5 annuités de cotisations.

Cette journée doit servir comme tous les autres mobilisations intermittents et précaires,santé… a favorisé la convergence de toutes les luttes et a réussir le tous ensemble public privé pour dire stop à cette politique gouvernementale en faveur des riches et grands patrons et ceci dés le 16 octobre.

 

Pour le NPA, aucun revenus de doit être inférieur à 1700 euros net

Le NPA exige une augmentation de 300 euros pour tous

Le NPA exige le maintien des services publics et la création de nouveau comme un service public pour le maintien de l'autonomie des personnes âgées.

Le NPA défend la sécurité sociale et son principe «  Chacun paye selon ses revenus et reçoit selon ses besoins »Il faut maintenir le financement de la sécurité sociale par le biais des cotisations sociales. Quand le gouvernement réduit les cotisations patronales, il s'attaque de fait directement à notre salaire socialisée, donc il ne faut pas se laisser faire et se mobiliser.

 

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19 septembre 2014 5 19 /09 /septembre /2014 08:57

 

Le 23 septembre la « Convergence des hôpitaux en Lutte contre l’Hôstérité » appelle les secteurs de la santé et ceux et celles qui veulent les soutenir à une manifestation nationale de 11 h à 14 h devant le ministère de la santé à Paris.

NOTRE SANTE PLUS QUE LEURS PROFITS !

C’est une première tentative pour sortir de l’isolement les luttes qui se mènent depuis des mois dans les établissements de santé publics et privés, contre les restructurations, les fermetures de services, de lits, le manque de matériel, la dégradation des conditions de vie et de travail, la suppression de jours de RTT, le travail en 12 heures consécutives, la semaines de 60 heures, les rappels sur les jours de repos, le développement d’emplois précaires, le gel des salaires...

 

Créée par des syndicats de base, CGT et SUD, la « Convergence » veut devenir un outil de coordination démocratique des luttes, permettant de construire et faire gagner un mouvement national et unitaire des hôpitaux et de la santé.

 

La santé est dans la galère…

 

L’hôpital public est dans une logique de rentabilité imposée par les gouvernements successifs et les groupes capitalistes propriétaires des établissements privés à but lucratif veulent réaliser le maximum de profits.

 

Partout les patients subissent les conséquences de l’austérité : des heures d’attentes aux urgences, des mois pour obtenir des rendez-vous, des durées d’hospitalisation diminuées, la présence du personnel auprès des malades réduite..

 

Les professionnels et les usagers du secteur sanitaire et social, des maisons de retraites médicalisées, des centres de santé sont confrontés aux mêmes coupes budgétaires. En moins de 30 ans les gouvernements ont fermé 60 % des maternités. L’accès aux IVG est de plus en plus difficile.

 

Mais c’est aussi toute la Sécurité sociale qui est visée. Il faut souvent des mois pour percevoir les allocations familiales, les indemnités journalières, liquider les pensions de retraite. Pour toute réponse la Sécurité sociale ferme ses centres et programme aussi des milliers de nouvelles suppressions d’emplois.

 

le pire est à venir avec le pacte de responsabilité !

 

Pour financer les cadeaux au patronat, le gouvernement prévoit dix milliards d’économies sur les dépenses de Sécurité sociale. Si on le laisse faire nous allons tous trinquer : les familles avec la diminution des allocations familiales, les retraités avec le gel des pensions y compris les petites retraites, les malades avec l’accroissement des difficultés d’accès aux soins et le démantèlement de l’hôpital public avec un budget rogné de 3 milliards, et le personnel de santé déjà épuisé par des conditions de travail insupportables !

 

Valls a été ovationné par le patronat,

le 23 septembre et le 16 octobre il sera hué !

 

Après la journée du 23 septembre la mobilisation doit s’amplifier pour mettre en échec le pacte de responsabilité et l’austérité.

 

Le 16 octobre, la journée d’action syndicale et interprofessionnelle pour s’opposer au projet de loi de financement de la Sécu sera l’occasion, en grève et dans la rue, de dire qu’il faut envoyer Valls’er l’austérité.

 

C’est dans la rue et dans la grève que sera censuré et mis hors d’état de nuire ce gouvernement.

 

Possibilité de se procurer la brochure ci-dessous au prix de 2 euros auprès des militants

NOTRE SANTE PLUS QUE LEURS PROFITS !
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17 septembre 2014 3 17 /09 /septembre /2014 10:50

La direction de la SNCF de la région Auvergne-Nivernais n'ayant pas du tout apprécier le mouvement de grève du mois de juin 2014 à la SNCF et ne souhaite pas du tout que tels mouvement se reproduisent. Donc , elle sort la grosse artillerie de la répression pour essayer de stopper les esprits trop revendicatifs et faire taire ce qui veulent mener la lutte contre les réforme catastrophique de la SNCF.

 

SOLIDARITE TOTALE AVEC LES AGENTS DE LA SNCF, STOP A LA REPRESSION DE LA DIRECTION

 

Plus de 120 mesures disciplinaires sont lancées contre les grévistes, les responsables syndicaux SUD Rail et CGT convoqués par la Police.

 

Il est tant d'affirmer haut et fort que le droit de grève existe. Il est inadmissible de s'attaquer à des salariés qui défendent leurs outils de travail ainsi que le service public de transport ferroviaire.

 

C'est pour cela qu'une mobilisation se met en place

 

Rassemblement JEUDI 18 SEPTEMBRE 2014

9h00 devant le local de la CGT

3 rue Guynemer

Jour du conseil discipline d'un militant du matériel

 

GRANDE MANIFESTATION REGIONALE D'AMPLEUR

JEUDI 25 SEPTEMBRE 2014

10H00 devant la gare de Nevers

 

Le NPA apporte toute sa SOLIDARITE aux salariés incriminés

Le NPA appelle à participer à toutes ses actions

Le combat des cheminots était plus que légitime et utile, car cette nouvelle réforme casse un peu plus le service de transport public ferroviaire.

 

 

Lire le tract d'appel de la CGT pour le 25 septembre

SOLIDARITE TOTALE AVEC LES AGENTS DE LA SNCF, STOP A LA REPRESSION DE LA DIRECTION
SOLIDARITE TOTALE AVEC LES AGENTS DE LA SNCF, STOP A LA REPRESSION DE LA DIRECTION
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14 septembre 2014 7 14 /09 /septembre /2014 08:08
CE GOUVERNEMENT DE COMBAT, NE CEDERA QUE PAR LA FORCE ! DONNONS NOUS LES MOYENS DE LE FAIRE RECULER ! TOUS DANS LA RUE, LE 23 SEPTEMBRE 2014 A PARIS POUR DIRE NON A "L'HÔSTERITE"

Valls déclare son amour aux patrons… et la guerre aux salariés

 

Les patrons réunis à l’Université d’été du MEDEF ont ovationné Manuel Valls, venu faire sa déclaration d’amour à «l’entreprise». « La droite n’a jamais fait aussi bien que la gauche actuellement au pouvoir » a déclaré l’un d’eux !

 

On a les remerciements qu’on mérite !

 

Les meetings de patrons sont désormais le seul endroit ou ce gouvernement «de gauche» peut se faire acclamer, alors que l’exaspération contre lui monte dans le «peuple de gauche» : salariés, précaires, jeunes, retraités.

 

Après avoir «débarqué» les ministres qui s’étaient permis de timides critiques à la politique d’austérité. Valls et Hollande ont constitué un nouveau gouvernement de combat pour imposer le « pacte de responsabilité » : 40 milliards de cadeaux versés chaque année aux patrons sans aucune contrepartie.

 

Pour mettre les points sur les « i » ils ont nommé un représentant de la banque Rothschild au ministère de l’Économie : plus besoin d’intermédiaire à la finance pour gouverner !

 

Le «dialogue social» avec ce gouvernement ne sert à rien : salaires, emplois, RTT, retraites, droit du travail, tout y passe !

 

C’est seulement par la force qu’on le fera reculer, par des luttes, coordonnées, déterminées, prolongées jusqu’à satisfaction. Au cours des derniers mois des luttes combattives se sont développées , chez les cheminots, à la poste, dans

les hôpitaux, et dans de nombreuses entreprises. Mais isolées elles n’ont pu gagner.

 

Touraine la bonne élève…

 

Dans la santé, Marisol Touraine, bonne élève du gouvernement. Hollande vient d’être reconduite dans ses fonctions pour imposer 3 milliards de plus d’austérité aux hôpitaux.

 

L’été a pourtant été catastrophique dans nos services. Les personnels n’en peuvent plus, le service public subit des attaques insupportables dont les patients supportent les conséquences.

 

Dans le secteur privé la recherche du profit pour les actionnaires altère les conditions de prise en charge des patients et les conditions de travail des salariés. Manques d’effectifs, précarité, blocages des salaires, rythmes de travail insoutenable : Il faut dire «stop» et le dire ensemble, haut et fort jusqu’à ce que nous obtenions satisfaction.

 

Le 23 septembre à Paris : «Non à l’Hosterité»

 

Le 23 septembre prochain, la «Convergence des luttes contre l’Hostérité» appelle à une manifestation, devant le Ministère de la Santé, à la veille du vote de la loi de financement de la Sécurité Sociale, qui détermine les budgets de nos établissements.

 

Le NPA et ses militants apportent leur soutien à cette initiative, première étape pour construire une mobilisation d’ampleur, qui devra se poursuivre et s’étendre.

 

Ce qui est en jeu, ce que nous défendons ce sont nos conditions de vie et de travail, mais c’est aussi l’existence même d’un système de santé pour tous, permis par la Sécurité Sociale, que MEDEF et gouvernement veulent remplacer par des assurances et des chaînes d’hôpitaux privés commerciaux.

 

Pour le droit de tous à la santé, pour le service

public hospitalier, ensemble, mobilisons nous !

 

 

 

 

CE GOUVERNEMENT DE COMBAT, NE CEDERA QUE PAR LA FORCE ! DONNONS NOUS LES MOYENS DE LE FAIRE RECULER ! TOUS DANS LA RUE, LE 23 SEPTEMBRE 2014 A PARIS POUR DIRE NON A "L'HÔSTERITE"

Voir le tract

de la COMMISSION SANTE-SECU-SOCIALE DU NPA

du mois de SEPTEMBRE 2014

CE GOUVERNEMENT DE COMBAT, NE CEDERA QUE PAR LA FORCE ! DONNONS NOUS LES MOYENS DE LE FAIRE RECULER ! TOUS DANS LA RUE, LE 23 SEPTEMBRE 2014 A PARIS POUR DIRE NON A "L'HÔSTERITE"
CE GOUVERNEMENT DE COMBAT, NE CEDERA QUE PAR LA FORCE ! DONNONS NOUS LES MOYENS DE LE FAIRE RECULER ! TOUS DANS LA RUE, LE 23 SEPTEMBRE 2014 A PARIS POUR DIRE NON A "L'HÔSTERITE"
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4 septembre 2014 4 04 /09 /septembre /2014 17:03

COMMUNIQUE DE PRESSE DU NPA

DU 3 SEPTEMBRE 2014

 

Le NPA apporte son soutien à la manifestation du 23 Septembre à Paris.

HÔPITAUX : UNE NÉCESSAIRE COORDINATION

Marisol Touraine, bonne élève du gouvernement Valls vient d'être reconduite dans ses fonctions. Sa mission : imposer les 3 milliards d'économies supplémentaires aux hôpitaux publics, voulues par le "pacte de responsabilité" et ses 40 milliards de cadeaux annuels aux patrons.

 

Fermetures et restructurations, productivité au détriment de la qualité et de la sécurité des soins, privatisations, ce gouvernement poursuit et amplifie la destruction du service public hospitalier de N. Sarkozy et R. Bachelot.

 

Les personnels hospitaliers n'en peuvent plus; ils voient leurs conditions de travail se dégrader : intensification insupportable du travail, prolongation de la durée du travail (suppressions de RTT), précarité, la mobilité imposée, salaires insuffisants et bloqués : partout les directions appliquent les mêmes recettes, sous l'impulsion des Agences Régionales de Santé (ARS) et derrière elles du gouvernement.

 

Pour s'y opposer, de nombreuses luttes se sont développées au cours des derniers mois, dans toutes les catégories d'établissements : CHU, établissements de proximité, maisons de retraites. Mais elles sont restées isolées.

 

Des résistances s'organisent également dans le secteur social et médico-social, ainsi que dans les cliniques privées soumises directement à la loi des actionnaires.

 

C'est pour coordonner ces luttes, et leur permettre d'être victorieuses que se sont réunies, dans l'unité, des équipes syndicales de plus de 60 établissements. Elles ont formé la "Convergences des hôpitaux contre l'austérité". Celle ci appelle à une manifestation devant le Ministère de la Santé le 23 septembre prochain, à laquelle participeront également des associations de défense de l'Hôpital Public.

 

Le NPA apporte son soutien à cette initiative : répondant à l'invitation lancée par les organisateurs, il sera présent aux cotés des hospitaliers devant le Ministère.

 

La coordination des luttes, la création d'un rapport de force est en effet la seule voie possible face à ce gouvernement de combat contre les salarié-e-s pour en finir avec l'austérité, la précarité et la destruction de la protection sociale.

 

 

Tract de la convergence des Hôpitaux en lutte contre l'Hôstérité

à destination du personnel des Hôpitaux

 

HÔPITAUX : UNE NÉCESSAIRE COORDINATION
HÔPITAUX : UNE NÉCESSAIRE COORDINATION

Tract de la convergence des Hôpitaux en lutte contre l'Hôstérité

à destination des usagers des Hôpitaux

 

HÔPITAUX : UNE NÉCESSAIRE COORDINATION
HÔPITAUX : UNE NÉCESSAIRE COORDINATION
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25 juin 2014 3 25 /06 /juin /2014 16:20

LE NPA se bat pour envoyer vallser ce gouvernement PS/MEDEF et apporte tout son soutien aux salariés en luttes, pour cela il appelle à participer à 

 

CLERMONT-FERRAND

MANIFESTATION

à l'appel de la CGT

14h30 Place Delille

 

 

lire le tract de l'UD CGT 63

 

extrait vidéo : appel journée d'action du 26 mai lors de la manifestation des salariées des cliniques et EHPAD privées.

 

 

Les cheminotEs ont ouvert la voie

Les intermittents continuent...

 

Le gouvernement, le Medef ont réussi à imposer leur réforme ferroviaire malgré la combativité, la détermination des cheminotEs qui ont toute raison d'être fierEs de leur lutte qui a tenu malgré la campagne hostile menée par le pouvoir et les médias. Loin d'être « inutile » comme le prétend Valls, leur grève est une étape pour changer le rapport de force, elle a contraint le gouvernement à mettre bas le masque du dialogue social. Elle a montré la voie.

 

Le gouvernement et le Parlement contre les travailleurs

 

Valls et Hollande ont voulu l'affrontement avec les cheminotEs, la CGT et SUD-Rail. Ils ont voulu un bras de fer pour affirmer leur autorité vacillante et montrer au patronat et aux banques qu'ils pouvaient leur faire confiance pour appliquer leur volonté et mater le mécontentement social, mettre au pas les syndicats en les piégeant au dialogue social.

 

"Depuis le début, je n'ai pas compris le sens de cette grève" avait déclaré le Premier ministre affichant son mépris des salariés, accusant la CGT et SUD Rail d'être irresponsables et de prendre le risque d'empêcher le bon déroulement des épreuves du Bac !

 

Quelle blague ! Les irresponsables sont ceux qui sacrifient les intérêts des salariés et des usagers à la concurrence, aux intérêts des groupes financiers auxquels ils veulent livrer la SNCF, ce sont les députés qui, à une large majorité, se sont pliés aux exigences du Medef.

 

Tout pour la finance

 

"La réforme, c'est difficile, on le voit à la SNCF, mais il faut continuer à réformer parce que le pays en a besoin. » martèle Valls et avec lui tout le gouvernement, la droite et les médias. Il faudrait accepter la réforme ferroviaire parce qu'il faudrait stabiliser la dette de 44 milliards d'euros.

 

C'est le même coup que pour le déficit budgétaire. La SNCF ou l’État empruntent auprès des banques privées, leur versent une rente qui s'accroît d'année en année, 1,5 milliards d’euros l’année passée pour la SNCF, et ce serait aux salariés de payer l’addition en acceptant une dégradation de leurs conditions de travail et de vie.

 

En prime, la réforme c'est la division en deux de la SNCF, d'un côté la SNCF de l'autre le Réseau ferré de France (RFF), livrés aux compagnies privées. Que les deux sociétés soient chapeautées par une troisième ne change rien. Au contraire, c’est ajouter une aberration à une autre.

 

Les cheminotEs ont raison de demander le retour à une seule société ayant le monopole du transport ferroviaire. La concurrence, ce sera plus d'insécurité, la hausse des prix, la dégradation du service.

 

Une politique pour changer le rapport de force

 

L’échec de la grève montre que nous avons besoin d'une réelle politique pour mettre en échec ce gouvernement qui n'est rien d'autre que le conseil d'administration de l’oligarchie financière.

 

Prétendre défendre les intérêts du monde du travail est incompatible avec le moindre soutien aux réformes capitalistes et le dialogue social pour les mettre en œuvre en étouffant la révolte.

 

La grève des cheminotEs était bien celle de l'ensemble du monde du travail comme l'est aussi la lutte des intermittents qui se battent contre la précarité.

 

Chaque lutte, chaque grève s’inscrit dans une bataille d’ensemble pour mettre en échec les politiques d’austérité, de concurrence et de compétitivité.

La politique du gouvernement et du Medef attaque l'ensemble des classes populaires, ensemble nous avons besoin d’une politique pour les mettre en échec, défendre nos droits.

 


 

 

 

 

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24 juin 2014 2 24 /06 /juin /2014 10:29

Les salariés des cliniques et maisons de retraite privées se mobilisent pour réclamer des augmentations de salaires et des meilleures conditions de travail .

 

Il faut savoir que la majorité de ces établissements appartiennent à des fonds de pensions étrangers(en particulier anglo-saxon) dont leur but principal est d'enrichir les actionnaires.

Pour cela, il pille l'hôpital public , en récupérant les missions du services publics les plus rentable, en laissant les plus coûteuse au service public. Il faut savoir que les bénéfices obtenues proviennent pour partie de l'argent de la caisse de la sécurité sociale et aussi par le fait de maintenir les salaires du personnel au plus bas, et en réduire son nombre et leur qualification.

 

 

LE 25 JUIN 2014 ,

LE PERSONNEL DES ETABLISSEMENTS DE SANTE PRIVE

SONT EN GREVE

à l'appel de la CGT

 

CLERMONT-FERRAND

Rendez-vous 9h00 devant le Pôle Santé République

Manifestation qui se rendra

devant

l'Agence Régionale de Soin

(avenue de l'Union Soviétique à Clermont-Fd).

à 11 h

 

 

lire le tract d'appel ci-dessous

LE PERSONNEL DES CLINIQUES ET MAISONS DE RETRAITE PRIVEES ENTRE EN RESISTANCE

Le NPA apporte tout son soutien au personnel en grève

Pour le NPA, aucun revenu, ne doit être inférieur à 1700 euros

LE NPA revendique une augmentation de 300 euros de tous les revenus

LE NPA rejette l’idée d’une coexistence entre établissements publics et privés commerciaux pour 2 raisons principales car il est inadmissible qu’une partie des richesses consacrées à la santé serve rémunérer les actionnaires des cliniques et aussi la concurrence entre secteur commercial et public contraint celui -ci à fonctionner sur le mode du privé commercial c’est -à-dire la rentabilité et la productivité.

Le NPA revendique l’expropriation, sans indemnité ni rachat des actionnaires cliniques privées

LE NPA souhaite la transformation des établissements privés en hôpitaux publics, avec un statut public pour pour les personnels (statut de praticiens hospitaliers pour les médecins et de la fonction publique hospitalière pour les autres catégories de personnels avec reprise de l'ancienneté) .Pour les établissements privés non commerciaux, le NPA préconise leur intégration à l’Hôpital Public, avec statut public pour les personnels.

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19 juin 2014 4 19 /06 /juin /2014 15:11
LE GOUVERNEMENT NE LÂCHE PAS , NOUS NON PLUS. EN GRÈVE JUSQU'AU RETRAIT !

Après 8 jours de mobilisation, la grève est très suivie et les AG regroupent beaucoup de monde. La direction de la SNCF tente de garder la face en annonçant des taux de grève bidons autour de 15% alors que seuls 20 à 30% de trains roulent.

 

Pourtant le gouvernement s’obstine à faire voter la réforme. Hollande et Valls de concert avec le patronat multiplient les déclarations méprisantes contre les grévistes. La campagne médiatique anti-grève se déchaîne.

 

 

Notre lutte est légitime. La réforme qui éclate l’entreprise en trois s’attaque à toute la réglementation du travail : 10 jours de repos en moins, des amplitudes de travail quotidiennes augmentées. En introduisant toujours plus de flexibilité et en supprimant des emplois, cette réforme ne fera qu’aggraver les sales conditions de travail que nous subissons déjà. C’est pour ça qu’il faut obtenir son retrait.

 

Les usagers se retrouvent à nos cotés quand nous expliquons les raisons de notre grève. La réforme du ferroviaire les touchera de plein fouet et nos revendications sont communes à tous les travailleurs. Les conséquences de la privatisation sont connues d’avance : plus de retards, plus d’accidents et des billets plus chers !

 

Maintenir et renforcer la grève pour faire céder le gouvernement

 

La manifestation de mardi dernier et les actions sur les voies de Montparnasse ont reboosté de nombreux collègues. Pour la première fois nous avons pu rencontrer les grévistes des autres gares. Il est important d’allier la construction de la grève localement et les démonstrations de forces qui permettent de regrouper les collègues.

 

 

Face à un gouvernement affaibli, l’heure n’est pas aux tractations de couloirs pour arracher quelques miettes. Les AG, dans lesquelles se retrouvent les grévistes doivent contrôler la mobilisation. Mais pour décider des actions, connaître l’état réel de la mobilisation nous devons coordonner les AG, au niveau régional et national.

 

La paralysie qu’entraîne l’arrêt de la circulation des trains reste le moyen de lutte le plus fort. Il faut convaincre les collègues qui ne sont pas encore en grève ou qui veulent reprendre le travail. Les piquets de grève et les tournées dans les services doivent servir à ça. Il faut qu’un maximum de grévistes s’y implique.

 

Pour gagner, nous devons nous organiser dans la durée. Pour pouvoir tenir, il faut travailler à l’organisation de caisses de grève.

 

Converger avec les autres secteurs en lutte

 

Casse du service public, gels des salaires, suppressions massives d’emplois. Toujours plus de cadeaux au patronat, des salaires toujours plus bas et toujours plus de boulot pour les travailleurs, voilà la politique du gouvernement !

 

Le pacte de responsabilité et ses 50 milliards d’économies vont faire pleuvoir les reculs sociaux dans tous les secteurs. Cette politique est illégitime et ceux qui la mettent en place, les Pépy, Cuvilliers, Filipetti et Valls doivent tous s’en aller !

 

Malheureusement pour le gouvernement, en ce moment il n’y a pas que les cheminots qui cherchent à bousculer ses plans. La mobilisation des intermittents menace la tenue des festivals de l’été, la contestation gronde dans les hôpitaux, les bureaux de poste, maintenant les contrôleurs aériens menacent eux aussi de s’y mettre. Ce que craint le plus ce gouvernement c’est la « coagulation » de l’ensemble de ces luttes. C’est donc dans cette voie que nous devons nous engager, la préparation du tous ensemble contre ce gouvernement.

 

 

  

Après 8 jours de mobilisation, la grève est très suivie et les AG regroupent beaucoup de monde. La direction de la SNCF tente de garder la face en annonçant des taux de grève bidons autour de 15% alors que seuls 20 à 30% de trains roulent.

 

Pourtant le gouvernement s’obstine à faire voter la réforme. Hollande et Valls de concert avec le patronat multiplient les déclarations méprisantes contre les grévistes. La campagne médiatique anti-grève se déchaîne.

 

 

Notre lutte est légitime. La réforme qui éclate l’entreprise en trois s’attaque à toute la réglementation du travail : 10 jours de repos en moins, des amplitudes de travail quotidiennes augmentées. En introduisant toujours plus de flexibilité et en supprimant des emplois, cette réforme ne fera qu’aggraver les sales conditions de travail que nous subissons déjà. C’est pour ça qu’il faut obtenir son retrait.

 

Les usagers se retrouvent à nos cotés quand nous expliquons les raisons de notre grève. La réforme du ferroviaire les touchera de plein fouet et nos revendications sont communes à tous les travailleurs. Les conséquences de la privatisation sont connues d’avance : plus de retards, plus d’accidents et des billets plus chers !

 

Maintenir et renforcer la grève pour faire céder le gouvernement

 

La manifestation de mardi dernier et les actions sur les voies de Montparnasse ont reboosté de nombreux collègues. Pour la première fois nous avons pu rencontrer les grévistes des autres gares. Il est important d’allier la construction de la grève localement et les démonstrations de forces qui permettent de regrouper les collègues.

 

 

Face à un gouvernement affaibli, l’heure n’est pas aux tractations de couloirs pour arracher quelques miettes. Les AG, dans lesquelles se retrouvent les grévistes doivent contrôler la mobilisation. Mais pour décider des actions, connaître l’état réel de la mobilisation nous devons coordonner les AG, au niveau régional et national.

 

La paralysie qu’entraîne l’arrêt de la circulation des trains reste le moyen de lutte le plus fort. Il faut convaincre les collègues qui ne sont pas encore en grève ou qui veulent reprendre le travail. Les piquets de grève et les tournées dans les services doivent servir à ça. Il faut qu’un maximum de grévistes s’y implique.

 

Pour gagner, nous devons nous organiser dans la durée. Pour pouvoir tenir, il faut travailler à l’organisation de caisses de grève.

 

Converger avec les autres secteurs en lutte

 

Casse du service public, gels des salaires, suppressions massives d’emplois. Toujours plus de cadeaux au patronat, des salaires toujours plus bas et toujours plus de boulot pour les travailleurs, voilà la politique du gouvernement !

 

Le pacte de responsabilité et ses 50 milliards d’économies vont faire pleuvoir les reculs sociaux dans tous les secteurs. Cette politique est illégitime et ceux qui la mettent en place, les Pépy, Cuvilliers, Filipetti et Valls doivent tous s’en aller !

 

Malheureusement pour le gouvernement, en ce moment il n’y a pas que les cheminots qui cherchent à bousculer ses plans. La mobilisation des intermittents menace la tenue des festivals de l’été, la contestation gronde dans les hôpitaux, les bureaux de poste, maintenant les contrôleurs aériens menacent eux aussi de s’y mettre. Ce que craint le plus ce gouvernement c’est la « coagulation » de l’ensemble de ces luttes. C’est donc dans cette voie que nous devons nous engager, la préparation du tous ensemble contre ce gouvernement.

 

 

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18 juin 2014 3 18 /06 /juin /2014 07:55

COMMUNIQUE DU NPA DU 17 JUIN 2014

 

 

Une semaine de grève, une propagande anti grévistes tous azimuts du gouvernement, des médias et jusqu’à la direction de la CFDT, et pourtant… elle tient la grève des salariéEs du rail, et pas qu’un peu !

A Paris, Nîmes, Metz, Le Mans, Rouen …., les cheminots avaient décidé de s’emparer du passage du projet de loi en premier lecture à L’Assemblée Nationale pour faire de cette journée l’occasion d’une nouvelle convergence des gares et donc des grévistes.

Malgré l’interdiction préfectorale de Paris d’un rassemblement devant l’Assemblée et la mollesse des organisations syndicales à protester, la colère des grévistes a été la plus forte. Le rassemblement des Invalides a regroupé environ 3 000 personnes dont une bonne moitié, avec la rage au ventre, est allée rejoindre derrière l’Assemblée nationale, leurs collègues de Saint-Lazare bloqués pour avoir eu « l’audace » d’approcher de trop près le Parlement !

Lacrymo, barrières anti-émeutes, agressivité des CRS,

les voies obscures du dialogue social…

Après ce tour de chauffe, environ 300 grévistes accompagnés d’intermittents et de postiers du 92 et de Paris en grève ont envahi les voies à Montparnasse.

Leur tentative de converger avec les salariéEs de la Santé a été freinée par un déploiement policier massif mais qu’à cela ne tienne, le cœur au combat n’a pas faibli !

Le NPA affirme sa solidarité sans faille

avec les grévistes et leur légitime lutte.

Les militantEs du NPA mettront tout en œuvre pour la poursuite de la mobilisation pour le retrait de la réforme ferroviaire des Hollande-Valls. Ce serait un premier encouragement pour les postiers et les intermittents et tous, celles et ceux qui se battent contre la politique anti-ouvrière de ce gouvernement!

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