Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
13 avril 2013 6 13 /04 /avril /2013 14:10

Le 04 février 2013, la direction de La Poste a annoncé aux 16 factrices et facteurs de Lezoux, la suppression du centre de distribution de Lezoux et le transfert d’activité sur la plateforme courrier de Pont-Du-Château et ce à partir du 19 septembre 2013.

 

A travers ce projet c’est une nouvelle fois le rapport financier qui l’emporte sur le rapport humain.

La Poste a décrété l’abandon du site sans se soucier de l’impact sur son personnel et notamment un rallongement du temps de trajet domicile-travail, un pouvoir d’achat amputé, une fatigue supplémentaire,....

 

Les horaires de livraison du courrier seront sans aucun doute modifiés. Le service public rendu aux usagers particuliers comme professionnels risque également d'en être grandement perturbé dans les communes du canton. La Poste de Lezoux étant la seule existante encore aujourd’hui dans le secteur, la disparition des facteurs fragilisent la pérennité du bureau de Poste à Lezoux.

 

Tout comme les factrices et facteurs de Lezoux, soutenus par l’intersyndicale UNSA, SUD, CGT exigez l’abandon du projet de délocalisation en signant cette pétition.

 

https://www.lapetition.be/sign_petition.php?petid=12768

 

Le NPA soutien cette mobilisation pour exigez l'abandon du projet de délocalisation du centre de Lezoux à Pont du château et vous appelle à signez la pétition

 

 

 

ARTICLE DE LA MONTAGNE 13 AVRIL 2013

 

article-la-montagne.png

 

 

Partager cet article
Repost0
8 avril 2013 1 08 /04 /avril /2013 10:51

LE 9 AVRIL

TOUTES ET TOUS ENSEMBLE

CONTRE LE MEDEF ET LE GOUVERNEMENT

RETRAIT DE L’ANI

 

Le NPA soutien cette mobilisation contre l'ANI et sa promulgation dans la loi qui entrainera un recul social sans précédent.

Le NPA appelle à participer à la manifestation

 


tract-inter-syndicale.png

 

 

 

 

CONTRE L'ACCORD FLEXI-PRECARITE

POUR LE RETRAIT DE LA LOI DE RECUL

à l'appel de FO,CGT,SOLIDAIRE,UNEF

avec le soutien de la FSU

TOUTES ET TOUS ENSEMBLE

LE 9 AVRIL 2013

10H00 PLACE du 1er mai

 

 

 

 

Le NPA sera présent dans la manifestation  avec drapeaux et tract ci-dessous

REJOIGNEZ-NOUS

 

 

tract-npa-9-avril-2013-1.png

 

 

tract-NPA-9-avril-evrso.png

 

 

Et aussi le tract explicatif du NPA concernant l'ANI

en lien http://npa2009.org/sites/default/files/Tract%20ANI%20maquette.pdf

ou ci-dessous

tract-ANI-recto.png

 

tract-ANI-verso.png

Partager cet article
Repost0
30 mars 2013 6 30 /03 /mars /2013 18:07

l’ANI (accord national interprofessionnel) signé en janvier par le MEDEF, la CGPME, la CFDT, la CFTC et la CFE CGC constitue une attaque sans précédent contre les droits des salariés et le code du travail.

 

Le gouvernement a décidé de retranscrire cet accord dans la loi. La CGT, FO, la FSU, SOLIDAIRES et l’UNEF ont affirmé leur opposition à cet accord et à toute loi de régression sociale lors de la journée d’action du 5 mars.

 

 

MEETING UNITAIRE CGT,FSU,SOLIDAIRES,FO,UNEF

LE JOUR DE L'OUVERTURE DES DEBATS A L'ASSEMBLEE

MARDI 2 AVRIL 2013

19h00 MAISON DU PEUPLE

Clermont-Ferrand

affiche meeting 2 avril

 

 

Partager cet article
Repost0
28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 22:43

npa logement

Le 31 mars 2013 sonne le retour des expulsions de logements, l’angoisse pour des milliers de familles et de personnes d’être jetées sur le trottoir et d’y rester ... le changement de gouvernement n’a pas changé grand chose, si ce n'est d'avoir repoussé de 15 jours cette date fatidique.

 

 

Depuis 2000 le nombre d’expulsions a doublé, comme le nombre de sans logis, à mesure que les loyers et l’immobilier ont flambé, que la précarité salariale, la pauvreté se sont étendues, que les prix de l’énergie, des transports, des soins, ou des produits alimentaires se sont emballés….

 

Le logement cher, c’est le résultat des politiques libérales, qui ont permis aux spéculateurs, aux bailleurs privés et aux milieux de l’immobilier de s’enrichir, sur le dos des salariés et des couches populaires : les profits locatifs ont grimpé de 70% en 10 ans.

 

Alors qu’il faudrait résolument baisser les loyers, cesser les expulsions, abroger les lois qui précarisent les locataires et le logement social, réquisitionner et mobiliser massivement les logements et les bureaux vacants, les résultats se font attendre, dans un contexte de rigueur budgétaire, de renoncements, de baisse de la construction de HLM.

 

Assez de paroles, des actes !

 

Quelques timides avancées ont été octroyées, comme l’arrêt des expulsions de prioritaires DALO, une promesse d’application de la loi de réquisition, l’annonce d’une future loi sur le logement, mais c’est très insuffisant pour réparer les dégâts des années d’or de la spéculation.

 

TOUS ENSEMBLE MOBILISONS NOUS

SAMEDI 30 MARS 2013

à 15H00 place de Jaude sous la statue Vercingétorix

 

pour de vraies mesures en faveur du logement social, des locataires, des sans logis, des galériens du logement pour exiger :

 

* L’arrêt des expulsions, de tout type d’habitation ;

*La baisse immédiate des loyers et des charges ;

*Le respect du DALO et du droit à un hébergement, avec un programme massif de mobilisation et de réquisition de logements et bureaux vacants ;

*Le renforcement des droits des locataires : particulièrement le droit au maintien dans les lieux, la suppression des sous-statuts locatifs … ;

*La création d’un service public du logement pour : produire 200 000 vrais logements sociaux par an, agir contre la spéculation, lutter contre les taudis et les abus, faire respecter le droit au logement décent et accessible… ;

*L’abrogation de la loi Boutin et des mesures de marchandisation des HLM ;

*Pour financer les HLM nécessaires : doublement du plafond du Livret A et centralisation à 100% par l’Etat, suppression de la TVA et rétablissement du 1%.

 

Cette mobilisation est soutenue par : AC!63, DAL63, ADECR63, FSU63, NPA63, EELV63, PG63, Alerte63. RESF.

Partager cet article
Repost0
27 mars 2013 3 27 /03 /mars /2013 10:08

Le 28 mars se tient une réunion du Conseil d’administration des retraites complémentaires Arrco/Agirc. Pour autant ce sont les retraités de tous les régimes qui sont concernés par la dégradation du pouvoir d’achat. Toutes les raisons existent pour exprimer mécontentement et exigences sociales.

 

C'est le jour qu'a choisi la CGT retraités pour organiser des rassemblements partout en France pour revendiquer le droit de vivre dignement sa retraite .

 

SUR CLEMONT FERRAND

RASSEMBLEMENT JEUDI 28 MARS 2013

14H30 devant la préfecture

à l'appel de la CGT Retraités

 

LES RETRAITES NE LÂCHENT RIEN

NI SUR LE POUVOIR D'ACHAT

NI SUR LES RETRAITES

NI SUR LA PROTECTION SOCIALE

 

 

 

28-mars-2013.jpg

Les retraités ne sont pas des nantis, loin de là, la moyenne des revenus des 137 000 retraités que compte le Puy de Dôme, est de 997 Euros.

 

 

 

Le NPA revendique une augmentation de 300 Euros pour tous.

Le NPA revendique une retraite à 60 ans (55 ans pour les travaux pénibles) à taux plein après 37,5 annuités de cotisation.

Pour le NPA, pour pouvoir vivre dignement, aucun revenu ne doit être en dessous de 1700 euros.

Pour le NPA, nous devons revenir au principe fondamental de la sécurité sociale

 

« Chacun cotise selon ses moyens et reçoit en fonction de ses besoins »

 

Le NPA revendique la diminution du temps de travail à 32 heures hebdomadaire, pour travailler toutes et tous

 

Partager cet article
Repost0
26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 09:25

Le conseil régional d'Auvergne a décidé la fermeture de 2 lycées en Auvergne

 

* le lycée professionnel de Romagnat

 

 

La lutte des personnels et des éléves se poursuit avec


banderole ROMAGNAT

 

 

RASSEMBLEMENT DEVANT LE RECTORAT

MERCREDI 27 MARS 2013

13H30

 

Le but de ce rassemblement est de créer le rapport de force nécessaire pour empêcher la fermeture de ce Lycée . Au même moment se tiendras un Comité Technique Académique (CTA) où il y'aura une lecture d'une motion écrite par les personnels du lycée(soutenue par l'ensemble des organisations syndicales )

 

* le lycée agricole de Lapalisse(03)

 

Lycee-la-Palisse.png

 

La fermeture de ce Lycée à la rentrée 2013 détruirait un centre de formation aux services en milieu rural qui était susceptible de se développer et de recruter au delà de son secteur géographique dans le cadre d’une politique de développement du service public. Elle engorgerait le lycée de Neuvy, poserait un problème à l’internat de Varenne et imposerait une mobilité forcée aux personnels concernés.

 

En Auvergne, le SNETAP-FSU, Sud Rural-Equipement et le SFOERTA appellent les personnels à faire grève le 28 mars 2013 et organise un

 

RASSEMBLEMENT LE 28 MARS 2013

à 10H30 devant la préfecture à Clermont Ferrand

à 13H30 place de la poste à Lapalisse

Pour le maintien du Service Public :

Maintien du Lycée Agricole Public de Lapalisse et

Demande d'une audience auprès du Ministre de l'Agriculture

 

 

 a.png

 

Le NPA dénonce le fait que la région préfère aider un établissement privé à 30 km du lycée de Lapalisse qui fait le même type de formation mais par alternance au détriment du service public avec des formations de qualité et accessible au plus grand nombre.

Le NPA apporte son soutien à la lutte des personnels, des élèves et des parents

LE NPA revendique un véritable service public de l'éducation national avec les moyens qui vont avec.

Partager cet article
Repost0
12 mars 2013 2 12 /03 /mars /2013 15:55


MERCREDI 13 MARS 2013 à 14H30 

TOUTES ET TOUS DEVANT PÔLE EMPLOI

rue Boulevard Léon Jouhaux

POUR EXPRIMER NOTRE COLERE

POUR REFUSER L'AUSTERITE

CONTRE L'ANI

à l'appel du comité des luttes contre les accords patronaux

 

 

 

 

Rassepmblement-pole-emploi.png

 

Le NPA soutien ce rassemblement

LE NPA met tout en œuvre pour favoriser la convergence des luttes du privé au public en passant par les demandeur(se)s d'emplois et précaires pour créer le rapport de force nécessaire pour faire aboutir nos revendications.

Partager cet article
Repost0
10 mars 2013 7 10 /03 /mars /2013 15:19

 

Un appel à la grève a été lancé par l'intersyndicale SUD RAIL,CGT, CFDT le mardi 12 mars 2013 concernant l'ensemble des salariés de la SNCF de la région Auvergne-Nivernais.

 

RASSEMBLEMENT DEVANT LA GARE

DE CLERMONT FERRAND

LE MARDI 12 MARS 2013

à 9H30

 

Il est prévue ensuite d'aller à la rencontre des conseillers régionaux d'Auvergne qui siège en assemblée plénière pour exiger d'eux qui respectent la convention TER qui stipule le maintien à l'emploi, à la production.

 

Et pour finir cette journée de mobilisation, en début d'après midi, il est prévu d'aller rencontrer le préfet .

 

Les salariés de la SNCF se mobilisent :

 

# pour exiger l'arrêt immédiat des restructurations et des compressions d'emplois(EEV,infrapôle,EIC...)

 

#pour exiger l'arrêt de la surproductivité faite au détriment de la santé et de la sécurité.

 

#pour exiger l'embauche au Statut des 200 salariés utilisés avec des contrats précaires (1500 emplois du cadre permanent soit 1/4 de l'effectif ont été supprimés sur notre région depuis 2002).

 

# pour exiger la pérennité de l'agence famille de Clermont- Ferrand.

 

# pour exiger le strict respect de la réglementation du travail.

 

# Pour exiger une réelle prise en compte de l'insécurité avec du du renforts en personnel

 

# pour exiger une augmentation des promotions dans le cadre des notations 2013.

 

# pour exiger une transparence citoyenne des discussions concernant la convention TER.

 

# pour exiger le respect des institutions représentatives du personnel de la SNCF.

 


Voir le tract intersyndical d'appel ci-dessous:

 

tract-appel-greve-SNCF.png 

 

 

 

Le NPA soutien les salariés de la SNCF dans leur lutte, car il défendent des revendications légitimes.

 

Le NPA défend un service public des transports ferroviaire accessible à tous et de qualité

 

Partager cet article
Repost0
4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 15:26
MANIFESTATION à CLERMONT FERRAND
à l'initiative de l'intersyndicale CGT,FSU,FO,SOLIDAIRES,UNEF
CONTRE L'ANI
Accord « flexibilité – compétitivité » :
tout bénef pour le MEDEF
Non à l’accord et à la loi
qui facilite la flexibilité et les licenciements !
Toutes et tous en grève et en manifestation…
Rassemblement à 10 heures
place du 1er mai
 
 
logo vertical rouge
 
 
 RETRAIT DE L'ANI
 
 

L’Accord National Interprofessionnel signé le 11 janvier par le Medef et la « troïka » syndicale CFDT-CFTC-CGC, donne pleinement satisfaction aux exigences du patronat en continuant le démantèlement du code du travail engagé par la droite et Sarkozy.     

En décidant d’inscrire dans la loi cet accord s’appliquant au niveau national et à l’ensemble des salariéEs, le gouvernement montre son empressement vis-à-vis du patronat.      

 

Cet accord faussement présenté comme un moyen de « sécuriser l’emploi » est en réalité une machine de guerre pour licencier plus vite et moins cher, pour baisser les salaires, imposer la mobilité, rallonger le temps de travail, pour subordonner la vie, le salaire, les conditions de travail des salariéEs aux profits de quelques uns.      

L’ANI une arme entre les mains des patrons     

Les grèves et les occupations des usines en mai-juin 1936 avaient imposé au patronat les conventions collectives qui garantissent par branches professionnelles des droits collectifs qui ne peuvent qu’être plus favorables aux salariéEs.      

En 2013, au nom de la « compétitivité », la légalisation de l’ANI donnerait aux patrons la possibilité de contournements des conventions collectives dans la mesure où ils seraient validés par des organisations syndicales. C’est la régression assurée pour les droits des salariéES et une arme d’envergure pour le MEDEF afin d’augmenter les profits.

    

*Le droit d’imposer la mobilité : les employeurs pourraient imposer à leurs salariés de changer de poste de travail ou de lieu de travail : un travail différent, non choisi ; un déménagement… un bouleversement de la vie des salariéEs en fonction des seuls intérêts patronaux.    

*Le droit de baisser les salaires : l’ANI prévoit la possibilité d’imposer aux salariéEs une diminution nette des salaires, pas seulement par le biais d’un changement de poste, mais parce que le patron décrèterait que c’est nécessaire pour la « compétitivité » de l’entreprise      

*Le droit de faire travailler plus : Au nom du « lissage » du temps de travail, les patrons pourraient éviter de payer les heures supplémentaires ou les heures complémentaires pour les salariéEs à temps partiel (80 % de femme)

L’ANI ce serait travailler plus pour gagner moins.     

* Un chantage permanent sur les salariéEs récalcitrants : jusqu’à présent il y avait un minimum de protection pour empêcher les patrons de modifier le contrat de travail. Maintenant (presque) tout est possible, et pour les récalcitrants, c’est la possibilité de licencier «pour cause réelle et sérieuse », pour motif personnel ou par licenciement économique individuel (!) celles et ceux qui n’accepteraient pas les nouvelles dispositions.

*Un permis de licencier sans frais : l’ANI c’est aussi la possibilité de faire entériner un Plan de sauvegarde de l’Emploi par un simple accord d’entreprise, voire en l’absence d’accord, par un simple document de l’employeur homologué par la direction du travail dans un délai très court.

  

L’enjeu est cette fois de contourner la loi et de raccourcir au maximum les délais pour couper court à toute contestation.      

Le résultat du « dialogue social »    

Cet accord est l’aboutissement de la politique de « dialogue social » dont tous les gouvernements nous rebattent les oreilles depuis le gouvernement de la « gauche plurielle » de Jospin.

     

Cela fait 15 ans que les partis politiques, du PS aux différents courants de la droite, expliquent qu’en France les syndicats sont trop conflictuels et qu’il faut qu’ils apprennent le dialogue avec le Medef pour devenir de véritables partenaires sociaux.

   

Les directions des syndicats ont accepté de se mettre autour de la table des négociations. Mais qu’y a-t-il à négocier quand on ne s’est pas donné les moyens de construire un rapport de force qui soit un peu plus en notre faveur ?     


Qu’y a-t-il à négocier, lorsque le gouvernement annonce qu’il a choisi son camp et qu’il légiférerait de toute façon ?      

En novembre le gouvernement Hollande-Ayrault avait expliqué sur tous les tons que si les organisations syndicales et patronales ne se mettaient pas d’accord, le gouvernement « prendrait ses responsabilités » pour mettre en

oeuvre le « Pacte de compétitivité » réclamé par les patrons    

Pour les salariéEs, les organisations syndicales et politiques qui ne veulent pas se résigner et attendre les prochains reculs la question à discuter est bien de savoir comment redonner confiance dans les luttes pour commencer à renverser les rapports de force ?

 

Comment empêcher que les députés votent et que le gouvernement fasse appliquer cet accord, d’abord contre les salariéEs du privé, et ensuite en l’étendant aux salariéEs du public, condamnant les privéEs d’emploi à le rester ?

           

contre le MedeF et le gouvernement,      

construisons un « tous ensemble »      

social et politique    

L’aggravation de la crise capitaliste oblige le gouvernement à durcir ses prévisions économiques, annonçant donc une aggravation de la politique

d’austérité : des réductions de dépenses publiques encore plus importante (au moins 15 milliards de coupes supplémentaires), la baisse ou la fiscalisation des allocations familiales, le gel des retraites – voire leur baisse – par augmentation des cotisations versées par les pensionnés avec en prime un nouveau recul de l’âge de départ en retraite ; des économies sur la formation professionnelle, le logement, l’aide aux chômeurs…            

On en oublie, mais Hollande et Ayrault, leurs ministres et leurs conseillers, penseront à tout !   

Plus que jamais, contre l’ANI et l’ensemble de la politique

de ce gouvernement au service du patronat,      

il est urgent de se mobiliser, tous ensemble.

Une seule journée ne suffi ra pas pour aboutir au retrait du projet de loi. C’est donc un vrai mouvement d’ensemble, généralisé, dans la durée, qu’il faut construire.

    

Il pourrait commencer d’exister en s’appuyant sur la convergence des luttes en cours contre les plans de licenciements à PSA, Arcelor Mittal, Goodyear, Sanofi , contre les menaces qui pèsent à Petroplus, Pilpa, contre les accords de compétitivité à Renault et bientôt à PSA…

 
C’est pourquoi le NPA propose aux organisations syndicales qui construisent la mobilisation contre l’ANI, mais aussi aux équipes syndicales qui animent les luttes en cours, aux partis politiques qui les soutiennent de discuter de revendications qui répondent aux besoins du monde du travail : interdiction des licenciements, réquisition des entreprises qui licencient, réduction du temps de travail pour partager le travail, augmentation des salaires, défense des retraites et de la protection sociale, amnistie des salariéEs victimes de la répression patronale.      

Il est urgent de construire une véritable

opposition unitaire de gauche     

à ce gouvernement, une opposition qui s’appuie      

sur les mobilisations pour construire

une alternative politique capable de répondre aux besoins      

du plus grand nombre en rompant    

avec la logique du profit, du capitalisme     

   
Partager cet article
Repost0
25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 16:47
LES AGENTS DU MINISTERE DU TRAVAIL, DE L'EMPLOI, DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE ET DU DIALOGUE SOCIAL ETAIENT EN GREVE LE 18 FEVRIER 2013.
 
tract-simplifie.pngSur Clermont Ferrand(à la gare SNCF et en centre ville) les agents en intersyndical (CGT,FSU,SUD) ont distribué des tracts pour informer la population des conséquences de cette réforme.
 
AUJOURD'HUI, l'inspection du travail :
 
C'est des inspecteurs et contrôleurs du travail au service de tous les salariés qui, dans toutes les entreprises quelles que soient leur taille, s'assurent de l'application du code du travail, en toute indépendance et libre de toute influence extérieure.
 
DEMAIN, l'inspection du travail, après la réforme du plan Sapin :
 
1 .suppression du corps des contrôleurs du travail sur 10 ans.
2. une inspection du travail répondant aux orientations et injonctions du Ministre (75 % de l'activité de contrôle).
3. une inspection du travail empêchée de répondre aux sollicitations des salariés (renseignements individuels, précontentieux prud'homal, renseignement relatif à l'exécution du contrat de travail et des conventions collectives).
 
IL S'AGIT NI PLUS NI MOINS QUE DE TRANSFORMER L'INSPECTION DU TRAVAIL, QUI AUJOURD'HUI ASSURE UNE MISSION DE PROTECTION DES DROITS COLLECTIFS ET INDIVIDUELS DES SALARIES AU SEIN DES ENTREPRISES, EN UN SERVICE CHARGE DE MENER DES ENQUETES A LA DEMANDE D'UNE AUTORITE ADMINISTRATIVE SUPERIEURE.
 
Il faut savoir que DEJA, les services de l'emploi du ministère du travail, de l'emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social ont payé un lourd tribut du fait de la décentralisation : perte de missions au profit des régions, entraînant une rupture d'égalité entre les citoyens sur les
territoires.
 
ET AUJOURD'HUI, le volet 3 de la décentralisation prévoit le transfert des missions des services de la formation professionnelle aux régions.
 
LA REPONSE DES AGENTS EN GREVE :
 
C'est NON, à une décentralisation créatrice d'inégalités entre les territoires.
C'est NON, aux réformes des politiques publiques destructrices des services publics et des emplois dans le ministère, notamment disparition de la catégorie C [assistante,secrétaire].
C'est NON, à une réforme de l'inspection du travail qui abandonne les salariés.
 
Article de « la montagne » du 19 février 2013
JOURNEE DE GREVE A L'INSPECTION DU TRAVAIL
 
article-montagne-inspection-du-travail.png
 
Vidéo « Journal 19/20 France 3 Auvergne » du 18 février 2013
JOURNEE DE GREVE A L'INSPECTION DU TRAVAIL
 
 
 
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog du npa-63
  • : Campagne du NPA
  • Contact

Recherche