Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 février 2013 7 24 /02 /février /2013 17:10

Le 11 janvier, le Medef et trois syndicats (CFDT, CFTC, CFE-CGC) ont conclu un Accord national interprofessionnel, l’ANI, qui donne pleinement satisfaction aux exigences du patronat contre les salariés.

 

ll continue le démantèlement du code du travail engagé par la droite et Sarkozy. Au nom de la course à la compétitivité, cet accord vise à baisser le coût du travail. Le gouvernement veut faire de cet accord une loi. C’est inacceptable.

 

Toujours plus de flexibilité

 

Le gouvernement a mis en oeuvre cette attaque au nom du prétendu « dialogue social », du « dépassement au bénéfice de tous » des « divergences d’intérêts entre représentantsdes salariés et des employeurs ». Il invoque la « sécurisation de l’emploi » mais il ne vise qu’à imposer aux salariés des reculs sous couvert de maintien de l’emploi.

 

La politique du chantage, déjà développée par des patrons-voyous comme Continental, acquerrait force de loi ! En guise de dépassement des divergences d’intérêts, les salariés reçoivent quelques miettes en compensation de reculs majeurs.

 

Ainsi, un salarié pourrait être licencié en cas de refus de voir sa rémunération baisser. La baisse de salaire que pourrait imposer une entreprise n’est même pas limitée et elle pourrait s’accompagner d’une augmentation du temps de travail.

 

Chaque salarié devrait signer lui-même son acceptation sous peine de licenciement. Au nom de la mobilité, les salariés seraient contraints de se plier aux besoins du patronat. Les procédures de licenciements seraient aussi simplifiées.

 

La « flexi-sécurité » est une tromperie qui n’a d’autre objectif que de faire accepter un recul des conditions de travail et de vie sacrifiées au nom de la compétitivité, de la rentabilité financière. Cela alors que le chômage et la précarité ne cessent de s’aggraver au prix de drames dont a tragiquement témoigné l’immolation d’un chômeur en fin de droit la semaine dernière.

 

La démocratie n’est pas au parlement mais dans la lutte

 

La CGT, FO, la FSU et Solidaires appellent à une journée d’action le 5 mars. Cette journée doit être le rassemblement de tous les salariés en lutte, le rassemblement de tous les mécontentements, des révoltes, une démonstration de force.

 

Préparer le succès de la journée du 5, c’est préparer l’indispensable bras de fer avec le patronat et le gouvernement. C’est à l’ensemble des travailleurs de s’exprimer et de décider, avec leurs armes, la grève, les manifestations, pour changer le cours des choses sans craindre de s’opposer à ce gouvernement qui n’est pas le nôtre.

 

Pour «développer l’emploi et lutter contre le chômage», comme ose le prétendre l’ANI, un gouvernement au service des travailleurs et de la population répartirait le travail entre toutes et tous, revaloriserait les salaires en remettant en cause les intérêts des patrons et des financiers, des riches.

 

Il y a urgence à mettre un coup d’arrêt à une politique de régression sociale

pour nous donner les moyens d’imposer une autre politique.

 

Accord « flexibilité – compétitivité » : tout bénef pour le MEDEF

Non à l’accord et à la loi qui facilite

la flexibilité et les licenciements !

Toutes et tous dans l’action le mardi 5 mars 2013 !

 

Dans le Puy de Dôme,

MANIFESTATION

Contre l’accord de la honte et contre sa transposition dans la loi

Toutes et tous en grève et en manifestation…

MARDI 5 MARS 2013

Rassemblement à 10 heures place du 1er mai à Clermont-Ferrand

 

Les organisations syndicales CGT, FO, FSU, Solidaires et UNEF interpellent les parlementaires du Puy de Dôme pour qu’ils s’opposent à la traduction de tels reculs sociaux dans la loi.

 

 

Voir tract de l'intersyndicale ci-dessous

 

 

 

 

 

tract-unitaire-5-mars-2013.png

 POURQUOI, NOUS SOMMES CONTRE

 CET ACCORD NATIONAL INTERPROFESSIONNEL ?

 

L’ANI du 13 janvier 2013 passé au crible des juristesTout ce qu’on ne vous a pas dit sur l’accord sur la sécurité de l’emploi.

 

Voir le lien(Vidéo explicative)

 

Partager cet article
Repost0
23 février 2013 6 23 /02 /février /2013 16:20

 

Article extrait du site

(du secteur AUTO du NPA: http://www.npa-auto-critique.org/

 

 

Solidarité avec les 168 salarié(e)s en lutte

pour le maintien de leurs emplois !

 

DMI Vaux ? Kesako ?

 

Il s’agit d’une fonderie d'aluminium pour pièces automobiles & poids lourds plus connue sous les noms de BREA ou BREALU. Ses clients principaux sont Renault (46% du chiffre d'affaire), PSA, BORGWARNER, MAN, ACI (Le Mans) & RENAULT TRUCKS.

 

Ce site a déjà subi 3 redressements et plusieurs plans sociaux. Ainsi l’effectif de cette fonderie située dans l’Allier est passé de 700 personnes en 1996 à 168 aujourd’hui.

 

En janvier 2011, lors du dernier redressement, BREALU est repris par le groupe DMI· ("Il semble en outre que Renault, client important de BREALU, se soit prononcé en faveur de ce repreneur" Les Echos du 25/01/11).

 

DMI est un groupe américain dont l'actionnaire principal était CARLYLE (20%). En décembre 2011, cet actionnaire a revendu ses parts à PLATINIUM EQUITY (fond de pension US) qui, devenant l'actionnaire principal, décide de se séparer du site de Vaux.

 

Au fil des cessions et des micmacs financiers, le bilan économique s’est dégradé. Les salarié(e)s ne peuvent pas être rendu(e)s responsables de cette situation. Pourtant, une fois de plus, ce sont eux qui risquent de payer le prix fort.

 

Les 168 salarié(e)s de DMI ont décidé

de faire entendre leur colère !

 

Le 21 janvier 2013 les salarié(e)s ont décidé de se mettre en grève.

 

Aujourd'hui 100% de l’effectif est en grève et l'on retrouve sur le piquet les ouvrier(e)s comme les cadres, l’ingénierie comme la production. (On devrait en prendre de la graine)

 

Le piquet de grève est toujours occupé. Les gens font sur place les horaires qu'ils auraient faits s'ils travaillaient. Comme ils bossaient en 3/8 et quelques personnes en VSD, il y a toujours du monde sur place.

 

Les grévistes sont motivé(e)s mais, se sentant isolé(e)s et constatant le peu d’intérêt que leur portaient les édiles locales comme les médias, ils menacent de faire sauter l’usine avec des bonbonnes de gaz. Les journalistes se bousculent maintenant pour venir voir ça de près.

 

La revendication principale et qui semble unanimement partagée est le maintien de l'activité, la pérennité de la fonderie de Vaux et des emplois.

 

Jeudi 21 février, le tribunal de Montluçon a a laissé un répit quant à l’avenir des 168 personnes et de leurs familles jusqu'au 5 mars 2013.

 

 

 

Le soutien et la solidarité doivent s'affirmer.

 

 

 

Lire ci-dessous le tract de SUD Renault Rueil appelant à la solidarité

 

solidarite DMI

 

 

 solidarite-DMI-2.png

 

 

 

 

 extrait du tract NPA entreprise Riom Combraille de février 2013

 

 

 

DMI : LES BONBONNES DE LA COLÈRE

 

Pas loin de chez nous, près de Montluçon à Vaux dans l’Allier, les 168 salariés de DMI, un sous-traitant de l’automobile, exaspérés de voir depuis des années les repreneurs se succéder en réduisant chaque fois les emplois, ont entassé dans l’usine les bonbonnes de gaz et menacent de faire sauter l’usine. Ils réclament 50 000 € de primes extra-légales en cas de licenciement. Une négociation est en cours mais le 5 mars, s’il n’y a pas de plan de reprise, ce sera le redressement judiciaire. Le troisième en six ans, et à chaque fois davantage de sacrifices... pour ceux qui sont jetés dehors comme pour ceux qui restent encore dans l’entreprise.

 

Partager cet article
Repost0
17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 19:47

NON AU PLAN SAPIN

TOUS EN GREVE

AU MINISTERE DU TRAVAIL

LE 18 FEVRIER 2013

à l'appel de la CGT, de la FSU,SUD

 

Voir ci-dessous et ICI le tract intersyndical qui a été distribué à un large public sur Clermont Ferrand qui explique les conséquences de cette réforme pour tous les salariés du privé, qui ne pourront plus avoir recours au service de l'inspection du travail dans les mêmes conditions qu’aujourd’hui.

 

tract-1-ministere-travail.png

 Inspection du travail 2

 

Le NPA soutien cette lutte légitime .

 

Voir ci-dessous la position du NPA sur cette réforme

 

 

 

AU MINISTERE DU TRAVAIL

CA SENT LE SAPIN

 

Les discussions vont bon train dans les services du ministère du travail. Le plan Sapin avec ses 540 promotions de Contrôleur de Travail en Inspecteur du Travail et sa réforme programmée de l’inspection du travail ne laisse personne indifférent.

 

Sapin a été habile : en annonçant sa réforme moins de deux mois après les assises nationales, il reprend la main sur l’agenda du ministère, il impose son calendrier aux agents et à leurs organisations.

 

En faisant semblant de répondre aux revendications des contrôleurs du travail, il s’achète le soutien ou du moins la passivité d’une partie des syndicats.

 

D’une certaine façon, la méthode Sapin est la même que celle employée par le gouvernement Hollande-Ayrault pour l’accord dit de «I sécurisation de l’emploi » : on appelle au «dialogue social » alors que les grandes lignes de la réforme sont déjà fixées, on fait sembler de lâcher sur des choses qui ne vont pas coûter un centime, la CFDT signe puis on fait passer pour un progrès social ce qui n’est que la poursuite de la politique de Sarkozy.

 

Et au ministère du travail, Sapin applique en effet la même politique que la droite. Le plan va poursuivre et amplifier les suppressions de postes, et les projets de destruction de l’inspection sont plus que jamais d’actualité, comme le montre la note secrète du DIRECCTE d'Aquitaine révélée par les organisations syndicales.

 

Le ministre avance masqué, mais ses intentions sont désormais claires : réduire l’indépendance des agents de contrôle, éloigner l’inspection des salariés et de leurs organisations, confier les sujets et les entreprises « sensibles » à des collègues triés sur le volet. Seul le patronat y trouvera son compte.

 

Le NPA prone l'unité de l'ensemble des salariés, pour que tous ensemble, ils obtiennent satisfaction de leur revendication à savoir

 

*aucun contrôleur du travail ne doit rester sur le carreau

*maintien d'une inspection du travail à compétence territoriale et généralisée

*arrêt des suppressions de postes

*revalorisation des catégories C

 

 

Le NPA par l'intermediaire de militant(e)s du ministère du travail en Ile de France publie un bulletin voir ICI et ci-dessous celui de février-mars 2013

 

bdt-NPA-IDF-1.png

 

 BDTNPAIDF2.png

Partager cet article
Repost0
17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 11:24

 

NOUS NE DEVONS PAS RESTER SILENCIEUX

IL EST TEMPS QUE CESSE LES DRAMES AUX POLES EMPLOI

après le suicide d'un chômeur sur Nantes

et une tentative sur St Ouen

 

 

BOUGEONS NOUS POUR CHANGER LES CHOSES

RASSEMBLEMENT DEVANT LE POLE EMPLOI

à l'appel de la CNT-AIT

à CLERMONT FERRAND

LUNDI 18 FEVRIER 2013

à 9H30 devant le pôle emploi

89 boulevard Clementel



Le NPA appelle à participer à ce rassemblement .

 

voir ci-dessous le communiqué de presse du NPA

 

 

 

logo vertical rougeCOMMUNIQUE DE PRESSE DU NPA

DU 14 FEVRIER 2013

 

Le NPA exprime sa colère et son indignation devant le terrible drame du chômeur de 42 ans qui s'est immolé, hier, à Nantes après avoir appris que faute d'avoir déclaré à Pôle Emploi une activité salariée effectuée fin 2012, il devait rembourser les allocations perçues et se retrouver sans droits.

 

A Mantes la Jolie, le 8 août, un homme de 51 ans s’était lui aussi immolé dans les locaux de la caisse d’allocations familiales. Aujourd’hui le taux de suicide des privés d’emploi est 6 fois supérieur au reste de la population.

 

Comment ne pas voir dans ces drames la mise en accusation de tout un système, d'une violence sociale qui broie les plus affaiblis, les poussent aux actes les plus désespérés.

 

"Nous devons lutter contre le chômage, nous devons montrer que nous sommes capables d'être une nation solidaire" a eu le culot de déclarer François Hollande comme s'il n'était pas responsable, lui et son gouvernement, du renoncement à s’opposer aux plans patronaux au nom de la course à la compétitivité, ce qui génère licenciements, chômage, précarité, et insécurité sociale.

 

La seule solidarité, digne de ce nom, ce serait de partager le travail entre toutes et tous pour garantir à chacun un emploi et un revenu décent. Et la dignité. Mais pour cela il faudrait oser s'en prendre aux intérêts des financiers, des riches, des gros actionnaires et non s'y soumettre.  

     

Partager cet article
Repost0
10 février 2013 7 10 /02 /février /2013 09:36

LE 12 FÉVRIER 2013, LES GOODYEAR VONT ENCORE DÉMONTRER QUE DANS NOTRE PAYS NOUS POUVONS RÉSISTER, NOUS POUVONS GAGNER LE DROIT DE GARDER NOS EMPLOIS.

 

Des salariés de toute la France répondent à l'appel des Goodyear à l’action du 12 février 2013, ARCELOR, FORD, 3 SUISSES, PSA, Dunlop Montluçon, Riom, SANOFI, VALEO, RENAULT, PO, MICHELIN, FIRESTONE, CANDIA, COCA-COLA, HARIBO…

 


Voir l'article de la montagne du 8 février 2013 ci-dessous

Appel à soutenir la lutte de Goodyear Amiens

dans les usines Goodyear Dunlop Riom et Montluçon

 

article-goodyear-dunlop-riom-montlucon.png

 

Sur MICHELIN(Mobilisation du 12 février 2013) plus d'infos ICI

 

Voir la motion déposée aux directions de site(reprend les revendications des salariés)

 

Les salariés demandent :

 

des augmentations de salaire en rapport avec la bonne santé de l’entreprise ;

 

l’abandon du projet de CET négatif et de ses dispositions de flexibilité ;

 

le repos le samedi et le dimanche pour les salariés qui travaillent la semaine ;

 

la gratuité complète des pneus d’essais ;

 

de revoir à la baisse missions et charges de travail à réaliser dans l’attendu des heures, ce qui diminuera le stress subi par les salariés ;

 

que des négociations sur les salaires, les coefficients, la pénibilité soient engagées rapidement.

 

L’entreprise doit satisfaire ces revendications à la vue des résultats qu’elle annonce. Mieux redistribuer les richesses pour augmenter le pouvoir d’achat de l’entreprise, c’est un investissement pour l’entreprise.

 

 

 

Mardi 12 février, 2013

RASSEMBLEMENT à 11 h 30

place des Carmes devant le siège(Clermont Ferrand)

 

Michelin pour remise de la motion, Point Presse et solidarité avec les salariés en lutte (Renault, PSA, Goodyear….)

 


Goodyear, PSA, Arcelor, Virgin, Sanofi, Candia, Petroplus... la liste des fermetures d’entreprises et des charrettes de licenciements n’arrête pas de s’allonger. Comme si la destruction des emplois ne suffisait pas, s’y ajoutent ces derniers jour le dénigrement et la criminalisation de celles et ceux qui résistent, la menace et le chantage pour touTEs les salariéEs.

 


Pour tenter de briser la grève qui dure depuis plusieurs semaines contre la fermeture de leur usine, cinq militantEs de PSA Aulnay sont convoquéEs par la police et quatre d’entre eux/elles sont convoquéEs pour entretien préalable en vue de licenciements.

 

Alors que Goodyear annonce la fermeture de l’usine d’Amiens-Nord et la liquidation de 1200 emplois, la CGT largement majoritaire est montrée du doigt. Son « crime » : avoir refusé en 2007, le marché de dupe proposé par la direction, un accord échangeant travail en continu par 4 équipes tournantes – un rythme de travail exténuant- et le sacrifice de 450 (puis 800) emplois contre un investissement de 52 millions d’euros, puis avoir combattu en 2009 un projet de suppression des deux tiers des emplois et une cession du tiers restant à Titan.

 

Depuis 6 ans, les salariéEs de Goodyear, se battent tant pour la défense des conditions de travail que contre les suppressions d’emplois.

 

Pourquoi tant de haine ?

 

L’enjeu va bien au-delà des seuls Goodyear et PSA. Il s’agit de faire accepter l’Accord National Interprofessionnel signé par MEDEF-CFDT-CGC- CFTC qui prétend allier sécurisation de l’emploi pour les salariéEs et compétitivité pour les entreprises. En réalité cet accord est une attaque majeure contre les droits des salariéEs. Le point central du texte est la possibilité, si un accord d’entreprise est signé, d’imposer à toutE salariéE une baisse du salaire ou une augmentation du temps de travail, voire les deux à la fois, sans qu’il ou elle ne puisse refuser sous peine de licenciement. S’y ajoute la mobilité forcée, c’est-à- dire l’impossibilité de refuser d’aller travailler dans un autre site de l’entreprise.

 

Le chantage et les menaces visent à imposer ce recul historique qui va être soumis très rapidement à la ratification par le Parlement. C’est ce qui explique le déchaînement actuel contre les grévistes.

 

Cet accord n’est en rien gagnant-gagnant. Les seuls gagnants sont les patrons qui obtiennent ce qu’ils réclament depuis des années, la baisse des salaires et la destruction du code du travail.

 

 

 

Il n’y a rien à garder dans l’accord, il ne doit pas être ratifié.

 

 

 

Après avoir repris à son compte les arguments du patronat et de la droite sur la nécessité de baisser le « coût du travail » au nom de la compétitivité, le gouvernement s’apprête à traduire dans la loi l’accord qu’il a lui même suscité.

 

 

 

Il faut s’opposer à lui et le faire reculer !

 

 

 

Face à l’attaque concertée du patronat,

il nous faut trouver le chemin

de l’unité de toutes les boîtes en lutte.

C’est toutes et tous ensemble

que nous pourrons gagner !

 

Partager cet article
Repost0
8 février 2013 5 08 /02 /février /2013 19:30

affiche santé npaLe travail de l'ensemble du personnel soignants, techniques, administratifs est de plus en plus soumis à des objectifs financiers avant d’être au service des malades . Il faut savoir que les moyens financiers donnés à l'hôpital public ont subi une cure d'austérité.


Dans tous les services, c’est la course à la rentabilité qui prime bien souvent au détriment de la qualité du soin et de la qualité de vie des personnels. Les personnels de l'hôpital public ne peuvent plus assurer correctement leurs missions de service public . C'est pour cela qu'ils agissent et se mettent en grève .

 

 

Le personnel de plusieurs services du CHU Clermont Ferrand se sont mis en gréve ces derniers jours.

 

SUR LE CHU(Gabriel Montpied)

 

*Le personnel du service de médecine interne est en grève depuis une semaine et poursuit sa lutte en intersyndicale(CGT-FO-SUD-UNSA)

 

*Le personnel du bureau des entrées a déposé un préavis



SUR LE CHU ESTAING

 

Le personnel du bureau des entrées s'est mobilisé du mardi 5 février au jeudi 7 février

 

Les revendications portées par le personnel sont toutes les mêmes

 

-du personnels en nombre satisfaisant et formés afin d'assurer des soins de qualité en toute sécurité pour la personne soignée ainsi qu'un meilleur accueil dans la prise en charge.    

-une augmentation des salaires

-une amélioration des conditions de travail



Pour le NPA, il est temps d'en finir avec la logique de  « l'hôpital entreprise »

 

Le NPA soutien la lutte du personnel hospitalier.

Le NPA exige une amélioration des conditions de travail

Le NPA exige un service public de santé gratuit de qualité pour tous

 

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2013 4 31 /01 /janvier /2013 12:42

Les personnels de la SNCF de la vente et de l'escale de la région Auvergne ont continué leur mobilisation pour empêcher la suppression de 14 postes de guichetier(e)s et personnel d'accueil en gare.

 

Deux journées de mobilisation ont déjà eu lieu le 21 décembre 2012 et le 14 janvier 2013.

 

Une journée de grève a eu lieu le 29 janvier à l'appel de l'intersyndical(CGT,CFDT,UNSA,SUD), journée bien suivi.(voir article de la montagne)

 

Ils ont décidé d'interpeller  le directeur lors de la séance plénière du comité d'entreprise régional de la SNCF.

 

 

Le directeur a campé sur ses positions en défendant la suppression de ces postes par nécessité économique ce qui est un leurre. La mobilisation devra continuer et s'amplifier pour réussir à maintenir ses postes .

 

Le NPA soutien les revendications des salariés(voir tract ci-dessous):

 

 

tract-cheminot.png

Le NPA exige l'embauche  de salariés  en nombre nécessaire et formées pour assurer les chantiers en toute sécurité 

 

Le NPA défend un service public d'accueil et de transport de qualité et accessible pour tous,

 

Le NPA défend le maintien des petites gares utile pour permettre le désenclavement et le développement des territoires ruraux. 

 

 

 

 

 

Une mobilisation massive a déjà eu lieu le 21 décembre 2012 pour empêcher la suppression de 14 emploi de guichetiers dans la région Auvergne

 

 

LA PROCHAINE MOBILISATION AURA LIEU

à l'appel de l'intersyndicale CGT,CFDT,SUD RAIL,UNSA

RASSEMBLEMENT CLERMONT FERRAND

14 JANVIER 2013 

à 9H00

devant la bibliothèque du CE de la SNCF (côté parking Anatole France)

 

 

 

LE NPA soutien la mobilisation et l'action des agents de la SNCF.

LE NPA exige l'arrêt des suppressions d'emplois à la SNCF.

LE NPA défend un service public des transports gratuits et accessible à tous.

 

 

Voir ci- dessous le tract d'appel de l'intersyndicale :

 

 

14-janvier-2013.png

Partager cet article
Repost0
29 janvier 2013 2 29 /01 /janvier /2013 17:21

La semaine dernière, les enseignantEs parisienNEs ont connu une journée historique avec 90 % des personnels en grève. Ce gouvernement se veut le champion de la concertation, mais sa réforme imposée par en haut et sur fond d’économies, a provoquée une première manifestation massive.

 

Jeudi 31, l’ensemble de la fonction publique est appelée à faire grève par la CGT, Solidaires et la FSU.

FP tract

 

JEUDI 31 JANVIER 2013

MANIFESTATION

à l'appel de la CGT,FSU et SOLIDAIRES

10H00 Place Delille

à Clermont Ferrand

 

 

 

Pour le NPA, cette première étape doit être la plus massive possible afin de dénoncer l’austérité de gauche qui tape sur les salariéEs de la fonction publique et détruits les services publics, pour obliger le gouvernement à créer les postes nécessaires et pour revendiquer la suppression du jour de carence que la droite a imposé aux fonctionnaires.

 

« TOUS ENSEMBLE »,

C’EST POSSIBLE…

ET C'EST MAINTENANT !

 

Public, privé : même combat !

 

Licenciements et suppression d’emplois, austérité… toutes ces attaques rendent de plus en plus nécessaire une mobilisation des salariéEs du public et du privé toutes et tous ensemble.

 

Les grandes confédérations syndicales n’impulsent aucune action d’envergure nationale et interprofessionnelle. Le dialogue social à froid, les négociations avec les patrons sans rapport de force ne peuvent déboucher que sur la catastrophe comme le montre l’accord sur la compétitivité qui détruit le code du travail et les droits des salariés.

 

Pour changer la donne, nous avons besoin de toutes nos forces pour nous opposer à la politique du gouvernement et du patronat.

 

C’est une question de solidarité, c’est aussi une question d’efficacité.

 

Construire et réussir cette coordination et cette convergence,

c’est nécessaire, c’est possible… et c’est maintenant !

Partager cet article
Repost0
13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 08:55

un-toit-c-est-un-droit.pngEt c'est à l'État d'assurer ce droit égal pour toutes et tous.

 

Depuis des mois, les militantes et militants de RESF (Réseau Éducation Sans Frontières) dénoncent les manquements de l'État en matière d'hébergement des sans-papiers et demandeurs d'asile.

 

Depuis des années les militantes et militants de DAL (Droit Au Logement)

dénoncent la faiblesse des politiques engagées pour lutter contre la grande

précarité qui pousse des gens à dormir dehors.

 

Alors que les richesses produites ne cessent d'augmenter. Les bidonvilles que l'on croyait disparus renaissent aux abords de nombreuses villes en France et en Europe, et même maintenant à Clermont-Fd. Face à cette honteuse réalité, les associations caritatives et les services sociaux sont débordés.

 

A Clermont-Ferrand et dans l'agglomération, c'est la solidarité militante qui évite chaque semaine à plusieurs dizaines de personnes, voire à des enfants, de dormir dehors. Pourtant, à Clermont-Fd, 6 500 logements sont vacants, dont des bâtiments publics

 

La ministre du logement a raison de parler de réquisition, mais il faut

sans attendre aller plus loin. L’État et les préfectures doivent remplir leurs missions.

 

Les personnes qui ont fui leur pays pour reconstruire leur vie en France doivent être hébergées dans des conditions décentes. Les personnes victimes du chômage et de la précarité ne doivent pas se retrouver à dormir dans la rue, elles doivent avoir un vrai endroit pour vivre

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2012 3 12 /12 /décembre /2012 10:54

A l'appel de l'UD CGT 63,

 dans le cadre d'une journée d'action

du 13 décembre 2012

POUR CONTRER LES OFFENSIVES PATRONALES

AYANT POUR BUT LA CASSE DU DROIT DE TRAVAIL

 

- Rendez-vous à 11h00 devant le Leclerc de La Pardieu (un an après une action du même type et avec un jugement prud'homal favorable aux salariées. LECLER L'HYPER...EXPLOITEUR )
- Un casse-croûte de lutte sera organisée sur place
- Rassemblement vers 14h00 devant le MEDEF, dont le siège est également à La Pardieu (parc technologique).
- Quelques rassemblements sont également organisées dans les entreprises et établissements, en direction des employeurs...
 
Venez nombreux !!! pour afin réussir à construire le rapport de force nécessaire pour faire plier le gouvernement et le patronat.
Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog du npa-63
  • : Campagne du NPA
  • Contact

Recherche