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12 décembre 2011 1 12 /12 /décembre /2011 17:19

crise

 

 

Dans le cadre de la journée nationale intersyndicale et interprofessionnelle du 13 décembre contre les politiques de rigueur

l'intersyndicale départementale, CGT, CFDT, UNSA, FSU.

appelle à un rassemblement et à des prises de paroles des membres de l'intersyndicale

Mardi 13 décembre

de 11 h à 14h Place de Jaude

 

 

LE NPA appelle à participer à cette action intersyndical et souhaite la mise en place d'une réelle riposte unitaire syndicale,associative et politique contre l'austérité et les plans de rigueur

 

LE NPA propose 4 mesures d’urgence :

 

1. Un bouclier social contre la crise  : augmentation des salaires et des minimas sociaux  : 300 euros pour toutes et tous  ; le Smic à 1 600 euros  ! Interdiction des licenciements, relance des services publics par la création massive d’emplois dans l’éducation et la santé, retour à la retraite à 60 ans à taux plein.

 

2. Un financement de ces mesures qui fait payer les capitalistes. Annulation de la dette et de ses intérêts. Moratoire sur la base d’un audit sous contrôle populaire. Arrêt des cadeaux fiscaux et augmentation des impôts sur les riches et les grandes entreprises.

 

3. La saisie des banques et leur unification sous contrôle de la population et des travailleurs.

 

4. La sortie du nucléaire, en développant des énergies renouvelables, en particulier l’éolien, en réorganisant un service public de l’énergie, des transports, de l’habitat par une planification démocratique, sociale et écologique.

 

Pour appliquer ce programme il ne faut pas hésiter à s’attaquer à la logique du système capitaliste et au pouvoir du patronat et des banquiers. Ces quatre mesures sont les premières qu’appliquera un gouvernement des travailleurs pour servir les intérêts du plus grand nombre.

 

Ce sont les axes de notre campagne mais aussi un programme de lutte contre la crise capitaliste, un programme pour des millions d’indignés qui refusent aujourd’hui l’austérité, qu’elle soit de droite ou de gauche.

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28 novembre 2011 1 28 /11 /novembre /2011 17:57
resel.pngA Paris, pour la première fois, les sans logis mobilisés, les associations, les salariés de l'urgence sociale, les syndicats, collectifs locaux et institutions nationales se sont rassemblés le 10 novembre pour faire entendre leur colère face au mépris du gouvernement pour les lois qui protègent les plus fragiles.
 
On compte aujourd'hui plus de 8 millions de personnes sous le seuil de pauvreté, le contexte de crise économique accroît le nombre de ménages en difficulté, les prix de l'immobilier n'ont jamais été aussi élevés …
 
Et, alors que 84% des Français jugent insuffisante l'action des responsables politiques en matière de logement, le gouvernement communique sur sa politique du «logement d'abord» sans se donner les moyens de la mettre en oeuvre.
 
Aujourd'hui, près de 700 000 personnes sont privées de domicile personnel, les lois en matière de droit et d'accès au logement (DALO, SRU ... ) ne sont pas respectées, et le secteur de l'hébergement d'urgence et d'insertion est délaissé, au mépris des individus et du code d'action sociale qui affirme pourtant le droit à l'accueil inconditionnel pour toute personne qui en exprime le besoin.
 
Face à cette situation inhumaine pour tant d'hommes, de femmes et d'enfants, et en réponse au cynisme du gouvernement qui refuse de considérer la gravité et l'urgence de la situation, nous vous appelons à vous mobiliser autour de la marche organisé par le RESEL 63: DAL,CNL,ATTAC,AC!,RESF,LDH,UNEF,SOLIDAIRES,FSU,SAF,Europe-Ecologie les Verts,Front de Gauche(PCF,PG,GU),les Alterkolos...


reselSAMEDI 03 DECEMBRE 2011resel
MANIFESTATION 14 HEURES PLACE DE JAUDE
DEVANT LA STATUE DESAIX
A CLERMONT FERRAND
 
Pour une marche en direction de la place des Salins
 
 
Afin de faire entendre les revendications suivantes :
 
- L'application de la loi DALO, et un plan d'urgence pour le relogement rapide des prioritaires DALO, des sans logis en campement de mobilisation, en habitat de fortune, ou à la rue
 
- La mise en oeuvre du droit à l'accueil inconditionnel de toute personne sans-abri, toute l'année et avec des moyens adaptés aux besoins, jusqu'au relogement.
 
- La mobilisation des logements et locaux vides
 
- La garantie d'un accompagnement social global proposé aux personnes qui en ont besoin, et la participation des personnes mal logées à l'élaboration des politiques qui les concernent.
 
- Contre le logement cher : une vraie régulation des loyers, de l'immobilier et du foncier pour rendre le logement accessible à tous, la réalisation massive de logements sociaux et l'abandon des mesures qui fragilisent la vocation sociale des HLM .
 
- Un moratoire sur les expulsions et la prévention de toutes les formes d'exclusion
 
Contacts :
DAL 63, Maison des associations, 2 bd Trudaine, 63000 CLERMONT-FERRAND ; contact.dal63@gmail.com
CNL 63 13 rue des quatre passeports 63000 CLERMONT-FERRAND ; cnl63@cegetel.net
 
 
 
 
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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 20:21

COLLECTIF 63 POUR UN AUDIT CITOYEN DE LA DETTE PUBLIQUE

 

Communiqué de presse

 

Les organisations membres du Collectif 63 pour un audit citoyen de la dette publique appellent à manifester le samedi 26 novembre 2011.

Rassemblement à partir de 14H30, Place de Jaude à Clermont-Ferrand.

Ce rassemblement s’inscrit dans l’action du Collectif national du même nom qui veut permettre aux citoyens de se réapproprier la question de la dette publique, et à partir de là les grandes questions de politique économique, comme des enjeux démocratiques.

Le Collectif entend aussi dénoncer les politiques injustes qui font payer la crise de la finance par les peuples, et en particulier les catégories les plus précaires et les plus défavorisées.

ATTAC, DAL, LDH, MNCP-Chomactif, Les Amis du Monde Diplomatique, Brut de Béton Production

CGT, FSU, UNEF, Union Syndicale Solidaires

Europe Ecologie-Les Verts, Front de Gauche (PCF, PG, GU, FASE), NPA

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 10:00

 

reunion-dette.jpg  

 

 COMMUNIQUE DE PRESSE

 

 

Fin octobre 2011, à Paris, un certain nombre d’associations et d’organisations syndicales ont décidé, avec le soutien de partis politiques, de constituer un Collectif national pour un audit citoyen de la dette publique (http://www.audit-citoyen.org/).

 

L’audit citoyen est un processus de mobilisation de la société civile, à partir de la question de la dette publique, visant à replacer dans le champ du débat démocratique des choix qui en sont aujourd’hui soustraits. D’où vient cette dette ? Qui détient les titres de la dette ? Qui spécule sur elle ? Combien a coûté le sauvetage des banques ? Partout en Europe, Grèce, Portugal, Espagne, des citoyens et des citoyennes exigent d’avoir des réponses et s’organisent en collectifs.

 

Réunis à Clermont-Ferrand, le 8 novembre 2011, les représentants départementaux des organisations soussignées ont décidé de créer le Collectif 63 pour un audit citoyen de la dette publique. Ce collectif aura pour but de mener, dans le département, des actions sur les mêmes objectifs que le Collectif national. Site internet : http://www.audit-citoyen63.org/

 

ATTAC, LDH, MNCP-Chomactif, Les Amis du Monde Diplomatique, Brut de Béton Production

 

CGT, FSU, UNEF, Union Syndicale Solidaires

 

Europe Ecologie-Les Verts, Front de Gauche (PCF, PG, GU, FASE), NPA

 

 

 

 

 

 

 

 

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18 novembre 2011 5 18 /11 /novembre /2011 09:12
 
logo vertical rouge
 
 
 
 
 
 
Pas question de payer la dette d’un Etat au service exclusif des riches, des actionnaires et des banquiers !
 
 
 
 
 
 
 
 
Le plan d’austérité tel qu’annoncé par Fillon il y a quelques jours était déjà insupportable puisqu’il pèse uniquement sur les salariés, les chômeurs, les plus démunis.
Le gouvernement s’apprête à voler 7 milliards en 2012 et 11,6 milliards en 2013 dans les poches des salariés pour le donner aux banques.
 

- L’augmentation de la TVA de 5,5 % à 7 % sur les produits et les services ? Cela signifie une augmentation de l’impôt le plus injuste alors que sur les 10 dernières années les gouvernements ont fait baisser de 40 milliards l’impôt sur le revenu.
 
- 500 millions d’euros d’économies supplémentaires sur les dépenses de l’Etat, en particulier les budgets sociaux et l’éducation ? Une nouvelle montée du chômage et la misère. Une réduction des dépenses de santé, alors que beaucoup de personnes renoncent déjà à se soigner à cause des coûts trop élevés.
 
- Le gel à 1% de l’augmentation de la plupart des prestations sociales ? Une diminution du niveau de vie, alors que l’inflation approche 2,5 %.
 
- Le recul plus rapide de l’âge de départ à la retraite ? Les salariés concernés vont devoir travailler 1 à 4 mois supplémentaires uniquement pour les banques et les spéculateurs !
 
 
 
                                                                Mais ça ne leur suffit pas.
 
 
Chaque jour Sarkozy, Fillon, les ministres, le MEDEF ou les capitalistes de la banque ou de l’automobile annoncent ou proposent de nouvelles mesures. Elles visent à diminuer le pouvoir d’achat des travailleurs, des chômeurs, des plus démunis, de toutes les couches populaires ou à jeter à la rue encore plus de salariés.
 
Un jour de carence supplémentaire pour les indemnités maladie pour les salariés du privé comme du public.
 
La TVA « sociale » (bien mal nommée) qui pourrait remplacer les cotisations… surtout patronales.
 
Des milliers d’emplois supprimés à la BNP après la Société Générale mais aussi chez Peugeot-Citroën… sans compter tous les emplois induits (sous-traitants de toutes sortes, régions massacrées autour des sites touchés).
 

En revanche aucune mesure prévue contre ceux qui sont à l’origine de la crise : les banques qui ont spéculé sur les dettes, les grands actionnaires qui ont engrangé des milliards de profits et ont ainsi cassé l’économie et licencié.
 
 
 
 
                                     Et ce n’est certainement pas fini.
 
 
 
Il suffit de regarder les exemples de la Grèce ou de l’Italie. Elles en sont à leur deuxième ou troisième plan de rigueur et leurs nouveaux gouvernements à peine nommé en promettent encore un nouveau. Comme quoi il ne suffit pas de virer Papandréou si c’est pour le remplacer par un vice-président de la Banque Centrale Européenne, ou Berlusconi par un conseiller de Goldmann Sachs, la puissante banque d’affaire américaine !
 
Tant qu’on remplacera des politiciens pourris, corrompus et haïs à juste titre, comme Sarkozy ici, par d’autres politiciens de droite ou de gauche, mais du même monde, il n’y a rien à espérer pour les travailleurs ni de Grèce, d’Italie, d’Espagne, du Portugal… ni de France.
 
Avis donc à tous ceux qui pourraient croire que les choses peuvent changer par la seule vertu des prochaines élections de 2012. François Hollande a déjà prévenu. Son objectif sera de « donner du sens à la rigueur ». En clair, s’il est élu il nous chantera la chanson bien connue. Celle que nous ont chantée successivement Mitterrand, Chirac ou Sarkozy : « moi j’aurais bien voulu mais il y a l’héritage, mais il y a la crise, mais il y a… toujours quelque chose qui empêche de tenir les promesses électorales ».
 
 
Non, c’est maintenant qu’il faut refuser de payer une crise dont nous ne sommes pas responsables.
 
 
Sans attendre des élections dont nous ne connaissons pas le vainqueur… et encore moins ce qu’il fera une fois au pouvoir.
 
Au contraire en organisant une lutte et une riposte d’ensemble, d’abord pour imposer nos revendications et finalement retirer le pouvoir aux capitalistes, à ces 1% qui ont causé cette crise en amassant leur fortune sur le dos des 99% du restant de la population, condamnés à un sort de plus en plus difficile.
 
 
 
Refuser de payer cette crise ce serait :
 
 
- refuser de payer la dette, saisir les banques pour les unifier dans un service public sous contrôle des salariés.
 
- augmenter les salaires de 300 euros, annuler les réformes cassant les retraites et les services publics, réduire le temps de travail pour supprimer le chômage. Toutes ces choses seraient possibles si on prenait l’argent là où il est amassé… plutôt que de diminuer les impôts des plus riches ou déverser
 
des subventions aux patrons par dizaines de milliards, comme l’ont fait Sarkozy et beaucoup d’autres gouvernements avant lui.
 
 
Sur ces objectifs le NPA est prêt à prendre sa place aux côtés des organisations du mouvement ouvrier et de la gauche sociale et politique à qui il a proposé de se réunir et se concerter pour aider à organiser une riposte sur le terrain des mobilisations.
 

Faire payer la crise par ses responsables,
 
banquiers et grands patrons ?
 
Ne pas payer leur dette ?
 
Refuser l’austérité que nous préparent gouvernement et capitalistes ?
 
Est-ce possible et comment ?
 
 
 
Sur ces questions les militants du NPA vous proposent de débattre et échanger lors de réunions publiques.
 
 
 
A ISSOIRE
 
VENDREDI 25 NOVEMBRE 2011
 
20H00
 
À LA MAISON DES ASSOCIATIONS
 
Salle Wallis
 
 
 
 
 
Aux ANCIZES
 
JEUDI 24 NOVEMBRE 2011
 
18H00
 
Salle du conseil Municipal
 
Salle BATISSE, rue de la chartreuse
 

 
 
LE NPA appelle à soutenir  le rassemblement contre les dictatures des marchés financiers et contre les choix d'austérité qui en découlent à l'initiative de la CGT
 
 
CONTRE LES DICTATURES DES MARCHES FINANCIERS
à l'initiative de l'UDCGT 63
RASSEMBLEMEMENT SAMEDI 19 NOVEMBRE 20111
15H00 PLACE DE JAUDE
 
affiche poutou 
RASSEMBLEMENT SAMEDI 19 NOVEMBRE 2011 EN VIDEO
 
  Plus de 300 personnes à ce rassemblement, le NPA a distribué le tract ci-dessus.
 
 
 
 
 
 
 
 
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29 octobre 2011 6 29 /10 /octobre /2011 13:41
C'est une réalité créée par nos gouvernants, qui telle la lèpre ronge jour après jour notre économie, en nous privant  d'une vie meilleure. Contre la dette, un seul remède exonéré à 100% :  refuser de la payer.
 
Il est temps pour les salariés de s'unir, de se défendre et passer de l'indignation à l'action sans plus attendre et tous ensemble.
 
 
 
affiche poutou
 

 

Le conseil régional a versé 600.000 Euros à ACTICALL entreprise détenue à 45 % par le groupe Mulliez (première fortune de France). Ce cadeau fait en décembre 2010 devait permettre des créations d'emplois dans l'agglomération clermontoise.


Quel regard a la population sur son propre argent, sur les conditions de travail des salariés et sur le devenir de cette société en cas de délocalisation.

 
Cette somme sera ajoutée aux efforts déjà demandés aux plus démunis pour combler une dette qui n'est pas la leur.
 
Et la subvention versée à la plate forme régionale pour le transport ferroviaire en attente d'une autre aide européenne si cette dernière ne vient pas ces messieurs les transporteurs abandonneront le projet.
 
Elus du conseil régional, notre argent va-t-il revenir dans les caisses publiques? ILLUSION 
 
CETTE DETTE N'EST PAS LA NOTRE
ARGENT PUBLIC AU SERVICE PUBLIC
PAS UN EURO AU PRIVE 
 
 UNE QUESTION : OU LES 21 MILLIONS D'EUROS COLLECTES SOUS FORME DE PRET PAR LE CONSEIL REGIONAL VONT-ILS ALLER ? ENCORE AU PRIVE !
 
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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 15:17
affiche-002.jpgCette prétendue dette est en grande partie générée par les accords signés par les états membres du FMI en 1973 . Avant , les banques centrales effectuaient des prêts sans intérêts a leurs pays respectifs.
 
Aujourd'hui, ce sont les banques commerciales en empruntant aux banques centrales qui sont les seules habilitées à prêter aux états avec des taux intérêts importants. Cette situation a fait que, pour la France ( jamais remis en cause par la gauche) les intérêts s' élèvent depuis 1973 à environ 1400 milliards d' euros si l' on ajoute à cela les cadeaux faits aux entreprises (exonérations de cotisations, niches fiscales détournements et autre combines) la France ne serait plus endettée mais aurait un solde financier positif.
 
 
 
Il y a urgence à prendre le contrôle du secteur financier. Il faut en finir avec les diktats imposés aux peuples. Un gouvernement au service des travailleurs et de la population, s’appuyant sur leur mobilisation, leurs organisations à travers des comités démocratiques en particulier dans les secteurs des banques et de la finance prendrait trois mesures clés qui permettraient d'atteindre un tel objectif : l'annulation de la dette illégitime, la socialisation du système de crédit et le contrôle des capitaux.
 
Le NPA exige l'expropriation du secteur financier
LE NPA exige la socialisation du crédit au service des besoins sociauxaffiche crise
Jean-Paul TAILHANDIER
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15 octobre 2011 6 15 /10 /octobre /2011 19:57

Les manifestations d'indignés fleurissent partout dans le monde, c'est l'aboutissement de l'exaspération, du ras le bol des difficultés rencontrées dans la vie actuellement.

   

Il y a certes la "crise", comme l'on dit mais aussi que le capitalisme n'est plus en mesure d'assurer sa survie malgré le libre échange, la mondialisation; le domaine financier ayant supplé l'économique.

 

Ces indignés ne sont pas des révolutionnaires mais des révoltés.

Leurs actions, c'est bien mais sont insuffisantes , leur organisation précaire ouvre seulement des perspectives sans changement réel ,à l'exception de la Tunisie et de l'Egypte. Là, leurs actions se déroulaient sous la dictature.

A leur sujet, on a parlé de révolution, même si il y'a eu un développement des syndicats, des partis politiques, suite au départ de leur dictateur, ils n'ont pas pu mettre en place des structures de changement radical de gouvernance.

 

Le temps aidant, ils se font reprendre en parti ce qu'ils avaient arrachés de hauttes luttes.  Ceci pour démontrer, que leurs revendications sont plus que légitimes et nécessaires mais ne peuvent être gagnante que si elles sont accompagnés d'une démarche politique. 

 

Or, aujourd'hui, les syndicats, les partis politiques rencontre peu d'engouement , il y' a une abstention importante lors des élections et surtout une défiance envers le monde politique.

   

Lors de sa création le NPA(Nouveau Parti Anticapitaliste) avait pour vocation de rassembler les indignés et leur fournir l'outil nécessaire dans les luttes anticapitalistes. Il a toujours cette vocation mais bute sur les difficultés évoquées.

Néanmoins, à travers son programme porté et défendu par Philippe    POUTOU pour l'élection présidentielle,  il veut leur apporter les réponses à la crise, pour ce que pourrait être leur vie sans capitalisme.

 

 

 

    Jean-Jacques MANNEVAL

 

 

 

 

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13 octobre 2011 4 13 /10 /octobre /2011 20:43
CNCCP.pngLa Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques livrait en mai 2011 son treizième rapport.
 
À défaut d’être passionnante sa lecture est très instructive. Ainsi, on apprend que le Parti socialiste disposait pour l’année 2009 d’un budget de 57 124 791 euros (dont plus de 23 millions d’aides publiques). L’UMP avait quant à elle, pour la même année 2009, 54 019 008 euros (dont plus de 33 millions d’aides publiques). Quant au budget du PCF, il s’élevait à 31 547 710 euros et celui des Verts à 6 576 932 euros.

Le système de financement public des partis politiques est basé sur deux sources (des fractions en langage comptable). La première prend en compte le nombre de voix récoltées lors de la dernière élection législative (soit environ 1, 6 euro par voix, versé chaque année), la seconde dépend du nombre d’élus au Sénat et à l’Assemblée nationale (près de 44 000 euros par parlementaire et par an). Ainsi chaque année, les partis politique touchent de l’État des aides pour un total de plus de 74 millions d’euros.
Évidement les moyens dont le NPA dispose n’ont rien à voir avec ces chiffres. C’est un peu David contre Goldorak.

     
De l’argent, il y en a, mais pas dans les caisses du NPA
      faujour souscription
 
Le NPA vit de l’argent que versent ses militantEs à travers leurs cotisations et d’une souscription lancée chaque année depuis sa naissance, en 2009.
Au total, en 2010, le NPA disposait d’un budget à peine supérieur à 1 million d’euros.
L’an dernier la souscription a rapporté un peu plus de 280 000 euros à notre organisation, ce qui nous a tout juste permis de boucler notre budget.
La vie quotidienne du NPA, c’est celle d’un petit appareil au service des luttes. Notre organisation emploie très peu de permanents. Elle s’appuie surtout sur l’énergie de chacunE de ses militantEs.
Nous avons fait nos comptes. Pour continuer à vivre, notre organisation doit rassembler 350 000 euros d’ici fin décembre 2011.

        
Qu’allons nous faire de cet argent 
   TEAN_116_une.jpg 
Faire vivre notre journal : Tous est à nous ! l’hebdomadaire que vous tenez entre vos mains et qui, chaque semaine, vous tient informéEs de l’actualité revue et analysée par les anticapitalistes, met en lumière et décortique les nombreuses attaques du gouvernement et du patronat et donc des résistances qu’ils rencontrent. Ces résistances qui ne font couler que peu d’encre dans le reste de la presse nationale.

Donner, chaque semaine, la parole à des actrices et des acteurs de ces résistances, issuEs de nos rangs ou non. C’est aussi vous tenir informéEs de nos débats internes, et parfois débattre nous-mêmes à travers ces feuilles, en toute transparence.
 place de grèveMais notre presse c’est aussi Tout est à nous ! La Revue qui prolonge débats et analyse de l’actualité, de la période pleine de bouleversements que nous traversons. De la révolte des peuples arabes aux mobilisations dans le Wisconsin, la crise majeure du capitalisme, le syndicalisme, la lutte contre le fascisme, etc.
 
Cette presse est un outil indispensable pour approfondir notre pensée, notre stratégie et en débattre tous ensemble. Cette presse doit donc être indépendante. Nous n’avons aucune publicité. Tout comme le NPA, Tout est à nous ! ne vit et ne vivra que grâce aux abonnements et aux ventes par les militantEs et dans les kiosques. Et cette presse anticapitaliste a besoin de vous en cette fin d’année pour vivre.

La vie du NPA, c’est aussi sa vie interne. Faire vivre la démocratie interne a un coût. Le déplacement de plusieurs centaines de camarades lors de notre congrès ou des conférences nationales... avec les tarifs de la SNCF que vous connaissez.

Et puis, le NPA, ce sont aussi des militantEs au service des luttes. Et pour soutenir les luttes, apparaître et se battre à vos côtés, il faut de l’argent !
Chaque année ce sont des millions de tracts, des milliers d’affiches, d’autocollants, des drapeaux, des meetings, la solidarité internationale au quotidien, la participation à des dizaines de collectifs...
 
 
 
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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 16:00

crise.png

 

 

 

Depuis le début de la crise financière de 2008 les états dépensent des millions pour renflouer les banques : voilà, avec la mise en place d'une fiscalité favorisant toujours plus les riches, l'explication principale du gonflement de la dette publique qu'ils voudraient nous faire payer. 

 


Chaque jour apporte un nouvel épisode de la crise : les bourses qui dégringolent, les banques mises en difficulté pour avoir trop spéculé et pourri le système avec des « emprunts toxiques » , des pays entiers au bord de la faillite, des fermetures d'entreprise et des licenciements, des services publics saccagés, des politiques d’austérité toujours plus dures.. qui aggravent encore le déficit public. C'est un puits sans fond !

 

 

ILS NOUS PRESENTENT LEUR ADDITION !

NOUS NE PAIERONS PAS !

 crise


    Pour se défendre, pour désarmer la finance, pour se réapproprier notre avenir, il faut un moratoire, c'est-à-dire suspendre immédiatement et partout le paiement de la dette publique. Partouten Europe, il faut imposer un audit démocratique et populaire de la dette publique des États et des communes, une sorte de tribunal de la dette. Qui a prêté et spéculé ? Combien d’intérêts ont été payés et à quel taux ? Quelle part a déjà été remboursée ? Comment la dette a-t-elle enflé ? Quels chemins ont suivi les capitaux ? A quoi ont-ils servi ?

 


L’essentiel de la dette est illégitime. Il faut l’annuler et mettre sous contrôle public les institutions financières, créer un grand pôle public bancaire public par socialisation des banques, sans indemnité ni rachat.

 

Comme lors de la campagne du "NON de gauche" à la constitution européenne, nous proposons de créerpartout des comités unitaires contre l'austérité et la dette illégitime, rassemblant syndicalistes, alter-mondialistes, militants politiques et citoyens. Des comités pour faire converger les résistances, en France et au delà, contre l'austérité, pour un moratoire sur les paiements et un audit populaire de la dette publique.

 

affiche criseDans l'Union européenne, le mois d'octobre devrait connaître de nombreuses mobilisations contre les plans d'austérité des gouvernements de droite ou du PS (Portugal, Grèce, Espagne, Italie,..). Contre la dette, pour un mouvement social européen, partout des comités unitaires contre l’austérité et la dette illégitime.

 

A la veille d'une nouvelle tempête économique il est temps pour tous les salariés de s'unir, de se défendre et passer de l'indignation à l'action.. sans plus attendre et tous ensemble !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ps: tract distribué lors la manifestation du 11 Octobre 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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