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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 09:58

RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN

AU PRISONNIERS POLITIQUES PALESTINIENS

POUR EXIGER LEUR LIBERATION

LE SAMEDI 20 AVRIL à 14H00

Place de Jaude CLERMONT FERRAND

 

à l'appel de l'AFPS 63, avec le soutien de AAFTA, ADECR, Alterekolo, BdBP, CGT, EELV, FSU, GA, JC, NPA, PCF, PG, RESF, SUD, UEC, UNEF, UPC63

voir tract d'appel ci-dessous:

 

Tract AFPS

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10 janvier 2013 4 10 /01 /janvier /2013 18:34

 

logo vertical rougeCOMMUNIQUE DU NPA

DU 11 JANVIER 2013

 

Le NPA exprime son soulagement à la nouvelle de la prochaine libération du militant libanais Georges Ibrahim Abdallah ainsi que sa solidarité à sa famille et à ses proches qui l’attendent au Liban depuis 28 ans. Cette libération reste cependant suspendue à la signature d'un arrêté d'expulsion par le ministère de l'intérieur avant le 14 janvier. À cette date, le tribunal d'application des peines, statuera sur sa sortie de prison et son retour dans son pays, le Liban.

 

Libérable depuis 1999, La France et les Etats unis ont multiplié les obstacles pour empêcher sa libération. Cet acharnement envers ce militant a été une attitude constante depuis le premier jour de son incarcération pour lui faire payer son engagement politique communiste et sa solidarité qu'il a toujours exprimée à l'égard des peuples en lutte, avec le peuple palestinien tout d'abord.

 

Cette libération ne saurait effacer toutes les irrégularités de procédure, et toutes les promesses jamais tenues de l’état français. La lumière reste à faire sur un dossier qui n’honore pas ceux qui ont fait de Georges Ibrahim Abdallah le plus ancien prisonnier politique de France.

 

 

 

 

COMMUNIQUE DU COLLECTIF

POUR LA LIBERATION

DE GEORGES IBRAHIM ABDALLAH

DU 10 JANVIER 2013

 

Aujourd'hui, 10 janvier 2013, la cour d'appel de Paris a confirmé le jugement du tribunal d'application des peines du 21 novembre 2012 concernant Georges Abdallah.

 

Cette décision positive constitue une étape décisive dans le long combat judiciaire mené par Georges Abdallah pour obtenir sa libération. Celle-ci reste encore suspendue à la signature d'un arrêté d'expulsion par le ministère de l'intérieur avant le 14 janvier.

 

À cette date, Georges Abdallah comparaîtra - une ultime fois - par visioconférence devant le tribunal d'application des peines, qui statuera finalement sur sa sortie de prison et son retour dans son pays, le Liban.

 

Après plus de 28 ans de prison, Georges Abdallah va enfin pouvoir rejoindre sa famille, qui n'a pas été autorisée à le voir durant sa détention dans les prisons françaises.

 

Ces 28 ans d'emprisonnement ont reposé, rappelons-le, sur une machination politico-judiciaire reconnue depuis par certaines des plus hautes personnalités de l'État. Ces années de détention ont été prolongées par l'acharnement des gouvernements successifs, alors que Georges Abdallah était libérable depuis 1999.

 

Mais ces 28 ans de détention ne sont pas parvenus à briser la résistance de notre camarade, qui n’a jamais renié son engagement politique communiste durant ces longues années et qui n'a jamais failli dans la solidarité qu'il a toujours exprimée à l'égard des peuples en lutte, avec le peuple palestinien tout d'abord.

 

C'est cette force de résistance de Georges Abdallah qui a stimulé le mouvement de soutien exigeant sa libération, dont les manifestations se sont multipliées ces derniers temps, non seulement au Liban et partout en France, mais aussi en Belgique, en Tunisie, en Allemagne…

 

Nous sommes fiers d'avoir lutté aux côtés d’un camarade aussi digne et résolu dans son combat contre l’impérialisme et le sionisme, pour la liberté.

 

Collectif pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah (CLGIA)

Paris, le 10 janvier 2013

 

 liberonsgeorges@no-log.org - http://liberonsgeorges.over-blog.com

 

 

Pour plus d'information: Lire le rapport qui explique la situation et aussi les différentes actions de ce collectifs

 

 

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 04:53
POLICE : SARKOZY-GUÉANT EN RÊVAIENT
HOLLANDE-VALLS L'ONT FAIT
 
 
Le 1er novembre, Aurore Martin, militante nationaliste basque, a été livrée à la police de Madrid. La France a appliqué le mandat d'arrêt européen pour cette française pour avoir participé dans l'État espagnol à des réunions publiques en tant que membre de Batasuna, organisation tout à fait légale en France mais interdite en Espagne.
 
Sarkozy-Guéant ne l'avaient pas encore fait, Hollande-Valls se sont empressés de compléter le sale boulot. Des extraditions politiques de femmes ou d’hommes, français ou étrangers, qui n’ont fait qu’exercer leurs droits ! A notre époque ! Et ils osent appeler leur régime démocratique ?
 
LE NPA défend les droits des presos ! Pour l’amnistie !image-pays-basque.png
Aujourd’hui 624 militantEs basques sont emprisonnéEs, dont 137 dans l’État français. 14 sont gravement malades. 169 pourraient être placéEs en liberté conditionnelle. Des prisonnierEs disperséEs dans des prisons en général très éloignées du Pays basque. Herrira, mouvement social de défense des presos et des réfugiéEs, (www.herrira.org) porte deux revendications : la libération de tous les presos et le retour des réfugiéEs, détenteurs de tous leurs droits.
 
LE NPA défend le regroupement des prisonnierEs au Pays basque,
LE NPA exige la libération des prisonnierEs malades, de celles et ceux qui sont « conditionnables » ou qui ont accompli les ²⁄3 de leur peine, 
LE NPA exige la fin des mesures d’exception (dispersion, mesures d’isolement…),
LE NPA exige l’abrogation des mesures qui mènent à une condamnation à perpétuité.
 
Au-delà, la question de l’amnistie des presos et des réfugiéEs est, avec le droit à l’autodétermination, un élément essentiel de la résolution du conflit.
 
 
 
 
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4 novembre 2012 7 04 /11 /novembre /2012 14:50

affiche_son_contre_les_prisons_02_-moins__lourde-.jpg

 

DEBAT PUBLIC

 organisé par Radio Campus

(place limitée à 20 personnes)

16 rue Desgeorges

à Clermont Ferrand

 

SAMEDI 24 NOVEMBRE 2012

de 18h00 à 20H00

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12 septembre 2012 3 12 /09 /septembre /2012 22:40

Notre solidarité est leur arme!

 

Le 21 septembre débute à Francfort le procès de Sonja Suder et Christian. Extradés de France le 14 septembre 2011 après plus de trente ans d'exil,ils sont poursuivis en Allemagne pour des actions des Cellules révolutionnaires (RZ) contre le nucléaire et contre la gentrification dans les années soixante-dix.

 

Suite à un mandat d'arrêt européen, Sonja et Christian ont été livrés par la France pour être emprisonnés.

 

Depuis cette extradition, il y a maintenant un an, Sonja (âgée de 79 ans) reste en prison à Francfort. Christian, gravement malade, a été libéré et placé sous contrôle judiciaire.

 

Le procès s'annonce très long, notamment parce qu'il est organisé de manière à contraindre Christian à comparaître malgré son état de santé.

 

LE COLLECTIF DE SOUTIEN

AUX PRISONNIERS POLITIQUES 63

ORGANISE UN RASSEMBLEMENT

LE VENDREDI 21 SEPTEMBRE

à 18H00 à CLERMONT FERRAND

DEVANT LE PALAIS DE JUSTICE

 

 

Pour rappel et informations :

 

Le parcours de Sonja Suder et Christian Gauger

 

37 ans après les faits, le procès de Sonja Suder et Christian Gauger, extradés de France en septembre 2011,s’ouvrira à Francfort le 21 septembre prochain. Il exige toute notre vigilance!

Le 21 septembre 2011, un vieux couple d’anciens militants extra parlementaires des années 70, Sonja Suder et Christian Gauger, ont été extradés vers l’Allemagne après 33 ans passés en France.

Pourtant, en 2001, ils avaient été déclarés non extradables, et c’est dans le même appartement qu’ils occupaient à l’époque, qu’ils ont été « pris » et arrachés à leur vie.

 

Que leur reproche-t-on ?

 

Soupçonnés d’avoir appartenu au RZ (cellules révolutionnaires), Sonja et Christian sont accusés de participation à des actions qui n’ont fait que des dégâts matériels limités :

Deux attaques contre le nucléaire : la première contre la compagnie allemande MAN qui collaborait à la construction de la bombe atomique pour le régime raciste d’Afrique du Sud d’apartheid ; la seconde contre la compagnie KSB, qui, à cette époque était le plus gros fabricant de pompes utilisées dans les centrales nucléaires.

Et une attaque incendiaire contre le château d’Heidelberg. Cette action dénonçait la rénovation et la restructuration urbaines qui mettaient en œuvre la destruction de quartiers entiers de la ville, chassant ainsi les plus pauvres de leurs logements pour satisfaire aux exigences du tourisme et du profit.

Ces accusations s’appuient sur les témoignages extorqués à F. Hermann, alors que celui-ci était très gravement blessé. En 1978, alors qu’il préparait une bombe incendiaire destinée au consulat de la dictature argentine, celle-ci a explosé sur ses genoux. Profondément brûlé, Il perdra la vue et les jambes. Emmené à l’hôpital, en proie à des souffrances terribles, il est placé en isolement total. Il restera ainsi 18 semaines, sous l’emprise de sédatifs, privé d’avocat, avec pour seuls contacts les renseignements généraux, les procureurs et le juge. Procédés qui équivalent à la torture. Dès sa sortie de l’isolement, .F. Hermann désavouera ces déclarations arrachées par la police.

 

Leur refuge en France

 

A l’automne 1978, alors que l’Etat allemand, pour démanteler les mouvements radicaux, pourchasse de nombreux activistes présumés, Sonja et Christian quittent ensemble l’Allemagne pour la France. C’est plus tard seulement qu’ils auront connaissance des accusations portées contre eux.

En 1999, Hans Joachim Klein, qui avait rompu publiquement avec son passé militant et s’était lui aussi réfugié en France, est extradé. Jugé à Francfort pour avoir participé à l’action d’un commando germano-palestinien contre la conférence de l’OPEP en 1975 à Vienne, il accuse Sonja et un autre militant, Rudolf Schindler, d’avoir participé à la logistique de cette action. Cette dénonciation fait partie d’un système de « délation-coopération » ouvrant sur des possibilités d’allègement de peine. C’est là la pièce maîtresse d’une « justice d’urgence » que tous les Etas confrontés à la vague de contestation et de révoltes des années 70., introduiront sous des formes comparables dans le cours « ordinaire » de la justice.

La parole de Klein ayant été considérée non probante en raison des déficiences de sa mémoire, les juges relaxent Schindler. Hans Joachim Klein, qui risquait la perpétuité, sera condamné à 9 ans de prison, en fera 4, puis sera définitivement gracié.Aussi comme la contumace n’existe pas en Allemagne, l’accusation contre Sonja n’est pas examinée sur le fond, mais elle est à l’origine d’un nouveau mandat d’arrêt international lancé contre elle et d’une nouvelle demande d’extradition.

En 2000, Sonja et Christian sont donc arrêtés en France, mais la justice française se prononcera contre leur extradition, les faits dont ils étaient accusés étant prescrits en droit français. Le couple pourra rester « légalement » en France.

 

Extradés de France


En 2007, la justice allemande renouvelle sa demande d’extradition. Aucune accusation nouvelle ne le justifie, mais seulement de nouveaux accords franco-allemands qui, s’inscrivant dans le cadre de « l’espace Schengen », accordent la priorité à la législation du pays demandeur. En Allemagne les faits ne sont pas prescrits et ces accords, bafouant tout principe du Droit, ont valeur rétroactive. C’est ainsi que Sonja et Christian, assurés dix ans plus tôt, par la même Cour, de pouvoir vivre en France, deviennent « extradables »

En juillet 2009 François Fillon, Premier Ministre du gouvernement de Nicolas Sarkozy, suit l’avis de la Cour quant à la légalité de la demande de l’Allemagne, et signe le décret d’extradition. Peu après le rejet du recours au Conseil d’Etat, ils sont saisis chez eux au petit matin du 21 Septembre 2011 et extradés vers l’Allemagne

 

La procédure allemande

 

Christian, qui souffre d’une affection cardiaque grave, est transporté de l’autre côté de la frontière en ambulance et placé dans un hôpital carcéral, puis libéré pour raisons médicales.

Sonja, elle, est conduite à la prison de Francfort-Preungesheim. Un an après, elle est toujours emprisonnée, très au-delà du temps de détention provisoire « normal » qui, en Allemagne, est de 6 mois. Les juges ont refusé par trois fois de lui accorder la liberté conditionnelle, arguant du risque qu’elle ne s’enfuie ... Cette affirmation est totalement aberrante : s’ils avaient voulu fuir la justice, ils pouvaient bien plus facilement se cacher en France, de plus ils ne se sont pas quittés depuis 35 ans, Sonja a désormais 80 ans et Christian est totalement dépendant d’une surveillance médicale et chirurgicale permanente. La seule raison possible de cet acharnement est que Sonja paie ainsi leur refus à tous deux de parler, d’alimenter un système de « collaboration à la recherche de la vérité» fondamentalement pervers, dont ils sont eux-mêmes encore victimes 37 ans après les faits.

 

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1 octobre 2011 6 01 /10 /octobre /2011 07:00

SONJA ET CHRISTIANMercredi 14 septembre à 8 heures du matin, Christian Gauger et Sonja Suder, anciens militants des Cellules révolutionnaires, (mouvement anti-impérialiste allemand sans activité connue depuis plus de 30 ans) ont été extradés – en ambulance – vers l’Allemagne, en catimini, dans l’indifférence des médias, et sans que leur avocate ait pu s’entretenir avec eux et entreprendre la moindre démarche pour faire suspendre cette odieuse décision.

 

Après quatre années de procédures, le gouvernement français, soufflant en permanence le chaud et le froid, a courageusement décidé d’envoyer en prison Christian, 68 ans, gravement malade, incapable selon les experts médicaux de supporter une détention, et Sonja, sa compagne, 76 ans. Ceux qui s’étaient indignés lors de la demande d’extradition formulée par les USA envers Roman Polanski, en invoquant le temps écoulé depuis les faits qui lui étaient reprochés, restent muets ! Leur indignation serait-elle sélective ?

 

 Les faits reprochés par la justice allemande à ces deux militants anti-impérialistes remontent à plus de 35 ans. Jamais condamnés (la peine par contumace n’existant pas dans le droit allemand), ils devront être jugés pour leur participation supposée à des actions qui font partie maintenant de « l’Histoire» .Nous ne devons pas nous résigner devant cette décision lamentable et exiger la libération de ces deux camarades, leur retour en France, et l’arrêt des poursuites judiciaires.

 

 

TOUS AU RASSEMBLEMENT

LE VENDREDI 7 OCTOBRE-18H00

DEVANT LE TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE

Place de l'étoile-Clermont Ferrand

 

 

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